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Bienvenue à la ferme : les adhérents à l’écoute des consommateurs

Le réseau Bienvenue à la ferme de Maine-et-Loire a rencontré des associations de consommateurs.

Thérèse Delanoë, responsable de l’École buissonnière du Tremblay, Guy Gohier, jeune “retraité” de la commission nationale produits à la ferme, Françoise Louis, animatrice et Georges Deschères, responsable du réseau Bienvenue à la ferme.
Thérèse Delanoë, responsable de l’École buissonnière du Tremblay, Guy Gohier, jeune “retraité” de la commission nationale produits à la ferme, Françoise Louis, animatrice et Georges Deschères, responsable du réseau Bienvenue à la ferme.
© AA
« Notre petite fleur commence à être connue », s’est félicité Georges Deschères, président du réseau Bienvenue à la ferme du Maine-et-Loire, lors de l’assemblée générale du réseau la semaine dernière au Tremblay. Avec 5 700 adhérents en France, un peu plus de 200 dans les Pays de la Loire et 42 en Maine-et-Loire, Bienvenue à la ferme affiche une bonne vitalité. « L’objectif du réseau est de rassembler les gens qui ont le même souci d’ouverture de l’agriculture à d’autres activités que la production », a rappelé Georges Deschères. En mars, des réunions d’information seront organisées dans les petites régions pour convaincre de nouveaux agriculteurs de rejoindre le dispositif.

Portes ouvertes le 22 avril
« Nous souhaitons aussi conforter les relations avec nos partenaires, comme les associations de consommateurs », a précisé Georges Deschères. « Il est important de confronter nos différentes chartes de qualité aux besoins des consommateurs, pour voir si nos produits sont en phase avec leurs attentes ». Le réseau avait invité l’après-midi deux associations, UFC Que choisir et CLCV (Consommation, logement et cadre de vie), pour en débattre.
Comme chaque printemps, plusieurs fermes ouvriront leurs portes le 22 avril. Attirant tous les ans un public nombreux, avec en moyenne 500 visiteurs par ferme, cette journée sera placée sous le signe de la pédagogie. « Nous restaurons le dialogue avec le grand public. Les gens qui
viennent dans nos fermes portent ensuite un autre regard sur l’agriculture ».
D. J.
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