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De grandes ambitions pour le biocontrôle

Denis Longevialle, secrétaire général d’IBMA France, le 7 décembre à Angers.
Denis Longevialle, secrétaire général d’IBMA France, le 7 décembre à Angers.
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Les produits de biocontrôle représentent à ce jour, en France, 5 % du marché de la protection du végétal. L’ambition d’IBMA*France ? « C’est de tripler la part de marché de ces produits et d’atteindre d’ici 2025, le cap des 15 % du marché », a expliqué Denis Longevialle, d’IBMA France, dans le cadre du colloque Surveillance biologique du territoire, le 7 décembre à Angers (49).

Il existe une très grande diversité d’acteurs et de secteurs d’activité impliquée dans le biocontrôle, la start-up à la très grosse firme, et les pouvoirs publics en font un des grands axes stratégiques de la recheche, comme l’a affirmé le Président de la République dans son discours de lancement des EGA, le 11 octobre à Rungis.

Il reste beaucoup à faire pour développer ces usages, qui sont répandus de manière variable selon les filières. « Le biocontrôle est beaucoup utilisé en tomate sous serre et 70 % des vergers utilisent la confusion sexuelle. En revanche en viticulture, seuls 7 % des vignobles sont en confusion sexuelle », constate Denis Longevialle. Faut-il une incitation pécunière, s’interroge-t-il  : « en Allemagne, 60 % des surfaces viticoles sont en confusion sexuelle, les viticulteurs y étant incités par une prime de 150 euros à l’hectare ». Quant au trichogramme, il  est déployé sur 20 % des surfaces de maïs qui sont traitées contre la pyrale...

*IBMA International biocontrol manufacturers association.

Lire l'intégralité de l'article dans l'Anjou agricole du 15 décembre 2017.


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