Aller au contenu principal

En Maine-et-Loire, un auteur de BD s’immerge dans le monde du végétal

A l’initiative du CRDA Baugeois-Vallée, une bande dessinée sur les métiers du végétal est en chantier à Mazé-Milon. Sortie en janvier 2018. Pour réaliser ce projet, François Salembier, auteur de BD angevin, va à la rencontre des acteurs du végétal spécialisé.

L'auteur de BD François Salembier, mercredi 3 mai avec des stagiaires en reconversion de la formation “ouvrier en production horticole” du CNPH de La Ménitré.
L'auteur de BD François Salembier, mercredi 3 mai avec des stagiaires en reconversion de la formation “ouvrier en production horticole” du CNPH de La Ménitré.
© AA

Une bande dessinée pour faire découvrir à tous, et surtout aux plus jeunes, les métiers du végétal. L’initiative a germé il y a quelques années déjà au sein du CRDA Baugois-Vallée. Elle va se concrétiser par une sortie annoncée en janvier prochain, une date pas choisie tout à fait au hasard. Juste avant le festival de BD d’Angoulême et à une période de portes ouvertes dans les établissements de formation, cette œuvre viendra parler de la multitude des métiers du végétal, insuffisamment connus du grand public. Et pourtant, sur le territoire de la Communauté de communes de Beaufort-en-Vallée, le végétal représente pas moins de 14 % des emplois, avec des entreprises leader dans leur domaine.


« Comment les gens vivent ces métiers »
Pendant deux mois, l’auteur-illustrateur François Salembier s’est immergé dans ce monde. Carnet de croquis et tablette numérique en main, il a rencontré aussi bien des stagiaires de la formation Adema (chercheurs d’emploi), que des chefs de produit marketing ou des sélectionneurs chez
Vilmorin, ou encore des conseillers en maraîchage.

Près d’une vingtaine de visites en tout, comprenant des acteurs du territoire autour de l’emploi et du végétal. « J’ai pu voir divers métiers, de la production, de l’usine, du laboratoire, du commercial et du marketing, apprécie le jeune auteur. Je cherche à savoir
comment les gens vivent ces métiers, ce qui les passionne ». Cette masse d’informations, de témoignages collectés, formera la matière première d’un récit qui n’est pas un reportage mais bien une fiction. « Ce sera une histoire, avec du suspense, et une touche d’humour », dévoile Emmanuelle Mounier, conseillère en développement à la Chambre d’agriculture.

Lire l'intégralité de l'article dans l'Anjou agricole du 5 mai 2017.

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout l'Anjou Agricole.

Les plus lus

Les asperges blanches représentent 80% de la consommation mais 95% de la production française.
Fleuron d'Anjou recherche des producteurs d'asperges
La coopérative Fleuron d'Anjou veut développer la production d'asperges, visant un volume de 1 000 T à 5 ans. Elle recherche des…
Encore trop d'eau pour les semis

Les mauvaises conditions d'implantation des céréales d'automne ont induit un basculement des surfaces vers des variétés de…

Laurent Martin contrôle la production de ses panneaux sur son téléphone. L'optimiseur des onduleurs permet de superviser les modules (température, production, ampérage) et sécurise l'installation.
Une stabulation pour les vaches grâce au photovoltaïque
Éleveur de charolaises à Lys-Haut-Layon, Laurent Martin a financé la construction d'une stabulation pour son troupeau allaitant…
Entre 12 et 15 cm de hauteur d'herbe chez Jonathan Bertrand. Sorties 10 jours fin mars, ses vaches sont à nouveau consignées à l'intérieur, faute de portance.
Mise à l'herbe : de timides débuts

Limités jusqu'ici par la portance des sols, certains éleveurs se sont décidés à mettre à l'herbe des animaux, avec parfois des…

Les agriculteurs dénoncent les promesses du gouvernement non tenues, le manque de solutions à court terme pour leurs trésoreries en difficultés mais aussi de solutions à long terme pour éviter que ce scénario ne se répète à chaque début de programmation.
Promesses non tenues et manque de solutions concrètes 

Le 20 mars 2024, les représentants FRSEA et JA des commissions agriculture biologique et environnement ont rencontré la DRAAF…

Guillaume Aubert élève un troupeau de 65 vaches montbéliardes. Il est associé avec ses parents et son frère au sein du Gaec des Alezanes.
Autonome pour l'insémination de son troupeau laitier

Éleveur au Louroux-Béconnais, Guillaume Aubert a suivi une formation à l'insémination avec Innoval. Depuis, il a vu les…

Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 176€/an
Liste à puce
Consulter l'édition du journal l'Anjou agricole au format papier et numérique
Accédez à tous les articles du site l'Anjou agricole
Ne manquez aucune information grâce à la newsletter d'actualités
L’accès aux dossiers thématiques
Une revue Réussir spécialisée par mois