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La filière française du biogaz devrait plus que doubler ses revenus d'ici 2020

Le chiffre d'affaires de la filière française du biogaz devrait plus que doubler entre 2015 et 2020, selon une étude du cabinet Xerfi publiée le 11 mars, qui estime aussi que les objectifs nationaux ne seront pas atteints à cette date.

Malgré le soutien public important à la filière, la lenteur du développement du biogaz tient à des problèmes techniques et à des acteurs très éclatés qui gagneraient à se structurer, juge l'étude.
Malgré le soutien public important à la filière, la lenteur du développement du biogaz tient à des problèmes techniques et à des acteurs très éclatés qui gagneraient à se structurer, juge l'étude.
© AA

Alors que l'étude a estimé les revenus de la filière à 390 M d'euros l'an dernier, elle estime qu'ils atteindront 920 M d'euros en 2020. La consommation de biogaz devrait elle aussi doubler d'ici 2018 après avoir progressé de 10 % en 2015. « Mais attention à ne pas verser dans l'euphorie », prévient l'étude, « les objectifs fixés pour la filière à l'horizon 2020 ne seront pas totalement atteints », du fait notamment des difficultés à rentabiliser les unités de production de biogaz. Le biogaz est issu de la méthanisation par fermentation des déchets organiques agricoles ou de l'industrie agroalimentaire, mais aussi des boues d'épuration des eaux usées. La France s'est fixé un objectif de 1 000 unités de méthanisation en 2020, contre 421 existantes fin 2015, et un rythme d'installation de 50 unités par an depuis 2012.

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