Aller au contenu principal

Le bœuf français pourra de nouveau être exporté vers la Chine

© Archives AA

Le lundi 25 juin, Jean-Yves Le Drian, ministre de l’Europe et des affaires étrangères, et Ni Yuefeng, ministre de l’administration générale des douanes chinoises, ont signé le protocole sanitaire d’exportation des viandes bovines françaises, à l’occasion du déplacement en Chine du Premier ministre Édouard Philippe. Cette signature fait suite aux vœux exprimés par les présidents chinois et français, dans une déclaration commune signée à Pékin le 9 janvier 2018. Il s’agit du point d’orgue d’une procédure administrative longue de plusieurs années, imposée par les autorités sanitaires chinoises. Pour Stéphane Travert, ministre de l'Agriculture et de l’alimentation, cette signature « témoigne de la pleine mobilisation du Président de la République, du Premier ministre et de l’ensemble du gouvernement pour offrir des débouchés à nos filières. » Dès juillet 2018, le bœuf français devrait donc être exporté vers la Chine, après 17 ans d’embargo. Il s’agira de viandes de bovins de moins de 30 mois, sans os, congelées ou réfrigérées, entières ou hachées. Le gras recouvrant la carcasse, de qualité alimentaire, pourra bénéficier des mêmes conditions d’exportation. Dans un communiqué, le ministère de l'Agriculture précise qu’il reste tout de même une dernière étape à franchir, l’administration chinoise compétente (CNCA) doit agréer les entreprises françaises candidates à l’exportation, après l’inspection sanitaire conduite en France du 30 avril au 9 mai dernier. Le rapport d’inspection du CNA a été communiqué lundi 25 juin aux autorités françaises, qui donneront les suites appropriées.

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout l'Anjou Agricole.

Les plus lus

Les asperges blanches représentent 80% de la consommation mais 95% de la production française.
Fleuron d'Anjou recherche des producteurs d'asperges
La coopérative Fleuron d'Anjou veut développer la production d'asperges, visant un volume de 1 000 T à 5 ans. Elle recherche des…
Encore trop d'eau pour les semis

Les mauvaises conditions d'implantation des céréales d'automne ont induit un basculement des surfaces vers des variétés de…

Laurent Martin contrôle la production de ses panneaux sur son téléphone. L'optimiseur des onduleurs permet de superviser les modules (température, production, ampérage) et sécurise l'installation.
Une stabulation pour les vaches grâce au photovoltaïque
Éleveur de charolaises à Lys-Haut-Layon, Laurent Martin a financé la construction d'une stabulation pour son troupeau allaitant…
Entre 12 et 15 cm de hauteur d'herbe chez Jonathan Bertrand. Sorties 10 jours fin mars, ses vaches sont à nouveau consignées à l'intérieur, faute de portance.
Mise à l'herbe : de timides débuts

Limités jusqu'ici par la portance des sols, certains éleveurs se sont décidés à mettre à l'herbe des animaux, avec parfois des…

Daniel Rochard (JRC Solaire) et Christophe Cesbron (Serres JRC). A droite : les nouveaux haubans photovoltaïques.
Plus d'autonomie énergétique avec les haubans photovoltaïques
JRC Solaire conçoit des haubans photovoltaïques visant à accroître l'autonomie énergétique des exploitations maraîchères et…
265 personnes ont participé à l'assemblée générale mardi 16 avril.
Nuisibles : la force du collectif
La fédération départementale des groupements de défense contre les organismes nuisibles (FDGDON49) a tenu son assemblée générale…
Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 176€/an
Liste à puce
Consulter l'édition du journal l'Anjou agricole au format papier et numérique
Accédez à tous les articles du site l'Anjou agricole
Ne manquez aucune information grâce à la newsletter d'actualités
L’accès aux dossiers thématiques
Une revue Réussir spécialisée par mois