Aller au contenu principal

Le prix et la satisfaction client pour leitmotiv

La FDSEA et les JA poursuivent leurs échanges avec la grande distribution et avaient rendez-vous mercredi 21 octobre au Carrefour Saint-Serge à Angers.

La FDSEA et les JA ont rencontré, mercredi 21 octobre, les dirigeants de Carrefour Saint-Serge à Angers.
La FDSEA et les JA ont rencontré, mercredi 21 octobre, les dirigeants de Carrefour Saint-Serge à Angers.
© AA

«J'achète, je vends. J'anticipe les besoins du consommateur et je fais en sorte qu'il n'aille pas ailleurs », commence par annoncer d'entrée Pascal Dève, directeur du Carrefour Saint-Serge à Angers. FDSEA et JA ont ainsi poursuivi leurs échanges avec la grande distribution, l'occasion pour les responsables de mieux appréhender le fonctionnement d'un hypermarché, ses relations avec les centrales d'achats et leur stratégie pour répondre aux exigences de la clientèle.

Appliquer des concepts et une politique de prix
Le système de la grande distribution française repose sur la politique des prix. « Et nous avons éduqué le consommateur dans ce sens. Avec une  densité commerciale très forte sur l'agglomération d'Angers, nous n'avons d'autres choix que de s'aligner sur nos voisins si nous voulons conserver notre clientèle », relève le directeur de l'enseigne. Cette politique du prix minimum s'allie avec des politiques marketing très poussée à l'image du "cross merchandising" qui  consiste à mettre en relation deux articles dont la consommation est liée par l'usage (exemple du couteau économe au rayon fruits et légumes). « La notion de commerçant n'est plus vraiment valable à notre échelle. Je suis aujourd'hui plus directeur d'une PME intégrée au groupe Carrefour. C'est la centrale d'achat qui gère les prix d'achat des produits qui sont mis en rayon, je ne reçois aucune facture fournisseur, je n'ai aucune transparence de la part de ma centrale », explique Pascal Dève. Selon le directeur, sa marge de manoeuvre semble assez faible. Cela n'empêche pas pour autant de valoriser des productions locales, à l'image du rayon boucherie libre-service où deux Rouges des prés sont passées chaque semaine. Mais cela ne peut se faire sans l'aval du siège.


Plus d'informations dans l'Anjou agricole du 23 octobre.

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout l'Anjou Agricole.

Les plus lus

Les partenaires du projet Vitivolt : Xavier Besson (LDDV), James Ronsin-Coumel (Altarea énergies renouvelables), Bertrand Pinel, chef de projet Vitivolt (Terrena Innovation), David Grellier (domaine Château la Varière), Jean-Philippe Priarollo (Terrena Energies).
Un démonstrateur agrivoltaïque unique en Val de Loire 

Pionnière dans le Val de Loire, une centrale agrivoltaïque expérimentale est installée depuis ce printemps au domaine Château…

Le nouveau bâtiment de 1 700 m2 mesure 18 m de large.
Un bâtiment neuf de 1 700 m2
Le groupement volailles de Terrena soutient la construction nouveaux bâtiments. Témoignage de Nicolas Ramond, qui dispose d'un…
A Bellême dans l'Orne, les FDSEA et les JA ont organisé une manifestation symbolique vendredi, pendant pendant qu'Emmanuel Macron était à Belém, au Brésil.
Un jour c'est oui, le lendemain c'est non
En moins d'une semaine, le président de la République s'est tour à tour déclaré « plutôt positif » au traité UE…
Le lavage mécanique des serres Avec le blanchiment et le déblanchiment, Traita Service s'est spécialisé dans cette activité qui contribue à maintenir les équipements en bon état.
Traita rayonne dans
toute la France
Implantée à Noyant-Villages (Auverse), l'entreprise Traita et ses deux filiales, Traita Service et Traita Agro, intervient pour…
Le sol sableux irrigué facilite le travail du sol sur la station qui emploie 20 permanents.
à brion, le geves évalue
les semences
L'unité expérimentale du Geves (Groupe d'étude et de contrôle des variétés et des semences), aux Bois d'Anjou (Brion) est…
Hausse de l'indice des fermages

En 2025, l'indice de fermage s'établit à 123,06, soit une augmentation de  +0,42 %.

Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 176€/an
Liste à puce
Consulter l'édition du journal l'Anjou agricole au format papier et numérique
Accédez à tous les articles du site l'Anjou agricole
Ne manquez aucune information grâce à la newsletter d'actualités
L’accès aux dossiers thématiques
Une revue Réussir spécialisée par mois