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Les charolaises ont eu raison des miss

A Chambellay, Emilie Ménard a deux casquettes : organisatrice événementielle et agricultrice. Bientôt, la jeune femme quittera ce monde de paillettes pour se consacrer entièrement à son élevage de charolaises.

© AA

L’une côtoie les podiums des miss. L’autre celui des rings des concours agricoles. Leur point commun ? Ils sont associés sur la même exploitation de viande bovine : l’EARL Emma
Ménard. à Chambellay, émilie Ménard a rejoint l’exploitation de son père Raymond Ménard en 2011. Une installation pas banale puisque la jeune éleveuse continue - pour le moment - son travail dans l’événementiel. Son agence organise des défilés de mode et des concours pour le comité Miss France dans le Grand Ouest. « C’est un travail passionnant mais très prenant en particulier en septembre et octobre avec les élections régionales », explique la jeune femme de 34 ans. Après celle des Pays-de-la-Loire, et de Bretagne, la période de rush touche à sa fin vendredi avec l’élection de Miss Normandie. En couple, avec un enfant de 3 ans, Emilie Ménard aspire à autres choses. « Ce n’est pas facile de construire une vie de famille avec tous ces déplacements et le travail les week-ends. » Elle espère quitter le milieu de l’événementiel « dans un an et demi maximum. »

Un travail génétique à perpétuer

En reprenant l’élevage charolais de ses parents, elle entend perpétuer le travail familial. « Mon père a fait de l’exploitation un outil de travail performant », constate-t-elle.

Retrouvez l'intégralité de l'article dans l'Anjou agricole du 13 octobre 2017.

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