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Maraîchage, les robots au boulot

La rencontre technique de la Chambre d’agriculture des Pays-de-la-Loire et du Comité départemental de développement légumier (CDDL) 49 a rassemblé 70 participants jeudi 20 septembre, dans le Saumurois (Maine-et-Loire).

Anatis, de la société vendéenne Carré.
Anatis, de la société vendéenne Carré.
© AA

L’après-midi était consacrée aux matériels de binage, avec une présentation, entre autres, des robots Anatis de chez Carré et Dino, de chez Naïo Technologies.

La société vendéenne Carré présentait le robot bineur Anatis, fonctionnant à l’énergie électrique. Deux types de batteries sont possibles : gel plomb ou lithium (autonomie supérieure, recharge plus rapide). Le prix de l’équipement va d’ailleurs dépendre du type de batterie. équipé d’une balise GPS et de 2 caméras, il réalise le binage en autonomie. Il collecte aussi des données utiles pour optimiser l’apport d’intrants (hygrométrie, température du sol, enherbement....).  L’agriculteur communique avec le robot via une tablette ou un smartphone. Il existe actuellement 3 modèles en fonctionnement dans des exploitations maraîchères de la région nantaise. Tarif : 100 000 euros environ.

Gain de temps, confort de travail et réduction de la pénibilité

Le robot bineur Dino, de Naïo Technologies, encore en cours de développement, est  utilisé dans une dizaine d’exploitations maraîchères en France, dont celle de Sébastien Breau (Villebernier), qui accueillait la journée technique. « Nous avons un partenariat de développement avec Naïo Technologies », explique Sébastien Breau, qui a acquis ce matériel pour  environ 100 000 euros. Gain de temps, confort de travail, réduction de la pénibilité sont les principales motivations qui ont poussé le maraîcher à investir : « Dino, il a l’avantage de pouvoir travailler le dimanche ! ». En plus de la salade, le robot est testé dans le Sud sur poireaux et carottes, laissant entrevoir de nouvelles perspectives.

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