Aller au contenu principal

Porc
Le logo VPF pour promouvoir l’origine France

Le CRP poursuit son action pour regagner quelques centimes au kilo.

Expliquer aux consommateurs la signification du logo.
Expliquer aux consommateurs la signification du logo.
© AA

Réunis en conseil d’administration du Comité régional porcin, les représentants régionaux de la filière porcine ont réaffirmé leur volonté d’œuvrer pour que les produits de porcs issus d’animaux élevés et préparés en France soit étiquetés “VPF”.
Dans le marasme dans lequel se trouve la production porcine depuis plusieurs années, les responsables du maillon production veulent poursuivre leurs actions pour regagner des centimes d’euros au kilo de carcasse de porc. Si les responsables des producteurs ont moins d’influence sur les outils de l’aval et la nécessité de ces derniers à se restructurer, ils espèrent faire évoluer la demande du marché en incitant le consommateur à acheter des produits identifiés “VPF”.
Pour atteindre cet objectif, un groupe de travail a défini les actions à mettre en œuvre, notamment avec les acteurs de la grande distribution. Les industriels de la charcuterie, qui sont pour partie réfractaires à mentionner l’origine de la viande de porc présente dans leurs produits, sont les fournisseurs de la GMS. “Or, si par la grande distribution, nous arrivons à obliger les industriels de la charcuterie à afficher l’origine de la viande de porc sur l’ensemble de leurs produits, nous pensons que le consommateur fera le bon choix”, explique Ivan Leclerc, responsable communication au CRP.
Pour que cette action fonctionne, il est également nécessaire d’expliquer au consommateur la signification du logo “VPF”, c'est-à-dire la garantie de l’origine France de la viande, mais également la garantie d’emplois, d’économie et de dynamique au sein du territoire.
Ce travail n’est qu’une petite pierre à l’édifice, mais ce qui est sûr, c’est quelle est indispensable pour que  la situation des éleveurs s’améliore.

Céline JOLY
Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout l'Anjou Agricole.

Les plus lus

Les candidats devaient reconnaître, en fonction des catégories, entre 20 à 40 plantes, puis les nommer selon la nomenclature botanique (famille/genre/espèce/cultivar/nom commun). 
Les experts en concours à Terra Botanica
Les 1er et 2 octobre, le parc Terra Botanica à Angers a accueilli la finale nationale du concours de reconnaissance des végétaux…
Le lavage mécanique des serres Avec le blanchiment et le déblanchiment, Traita Service s'est spécialisé dans cette activité qui contribue à maintenir les équipements en bon état.
Traita rayonne dans
toute la France
Implantée à Noyant-Villages (Auverse), l'entreprise Traita et ses deux filiales, Traita Service et Traita Agro, intervient pour…
Félicitations !

Valentin Beaumard est l'heureux gagnant du jeu concours organisé par l'Anjou Agricole au Festi'élevage 2025 et remporte 1 an d…

L'unité de méthanisation fonctionne depuis 2018 sur l'exploitation du Gaec de la petite Ferronnière, à Briollay.
Quel avenir pour la cogénération ?
Engagés depuis quelques années dans la méthanisation à la ferme, des agriculteurs du Maine-et-Loire questionnent aujourd'hui la…
Hausse de l'indice des fermages

En 2025, l'indice de fermage s'établit à 123,06, soit une augmentation de  +0,42 %.

Plus de 110 éleveurs étaient présents à la réunion du Lion d'Angers.
Salle comble au Lion d'Angers

FDSEA, JA, Chambre d'agriculture et GDS organisent des réunions d'information sur le contexte sanitaire.

Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 176€/an
Liste à puce
Consulter l'édition du journal l'Anjou agricole au format papier et numérique
Accédez à tous les articles du site l'Anjou agricole
Ne manquez aucune information grâce à la newsletter d'actualités
L’accès aux dossiers thématiques
Une revue Réussir spécialisée par mois