Aller au contenu principal

Pourquoi s’encombrer quand on peut recycler ?

Cette semaine s’est tenue la collecte des films agricoles usagés, des ficelles et des filets.

A Noyant, la collecte de déchets de septembre a eu moins de succès que les autres. Mardi, seulement 2 agriculteurs avaient apporté leurs déchets à Geoffrey Même et Thierry Marandeau d’Anjou Négoce.
A Noyant, la collecte de déchets de septembre a eu moins de succès que les autres. Mardi, seulement 2 agriculteurs avaient apporté leurs déchets à Geoffrey Même et Thierry Marandeau d’Anjou Négoce.
© AA

Cette semaine était une semaine de grand ménage dans les fermes. Ficelles, filets, films de paillage, de serres, de petits tunnels,  des bâches d’ensilage et d’enrubannage. Tout pouvait être amené dans son site de collecte pour ensuite être recyclé. A Noyant, Anjou Négoce collecte les déchets des agriculteurs depuis 7 ans. Il ne collecte que ce qu’il vend : les bidons phyto, les sacs d’engrais et de semences, les filets, ficelles et les bâches ensilage. 4 collectes sont organisées.
« D’année en année, les agriculteurs sont de plus en plus nombreux à participer à ces collectes », constate Thierry Marandeau, chauffeur du négociant en charge de la collecte. En moyenne, une cinquantaine d’exploitants viennent apporter leurs déchets. Anjou Négoce ne se contente pas de collecter. « Au moment du déchargement des saches, on vérifie le contenu. » Rien ne doit être mélangé. Pas de ficelles avec des filets, pas de bâches d’ensilage avec celles d’enrubannage... Ficelles et filets doivent être stockés dans des sacs Adivalor fournis par leur distributeur. « Lors de la collecte, on s’assure aussi que tout est relativement propre. » Sinon, si ces règles ne sont pas respectées, les saches ne sont pas collectés par la société de recyclage Adivalor. « Les chauffeurs sont de plus en plus exigeants quand ils viennent retirer les saches », souligne Thierry Maranbeau. D’une manière générale, les agriculteurs jouent bien le jeu. « On n’a plus trop à passer derrière eux. » Pourtant, le recyclage n’est pas encore entré dans les mœurs de tous. Puisque seulement 60 % des agriculteurs trient leurs filets, ficelles et bâches...

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout l'Anjou Agricole.

Les plus lus

Les partenaires du projet Vitivolt : Xavier Besson (LDDV), James Ronsin-Coumel (Altarea énergies renouvelables), Bertrand Pinel, chef de projet Vitivolt (Terrena Innovation), David Grellier (domaine Château la Varière), Jean-Philippe Priarollo (Terrena Energies).
Un démonstrateur agrivoltaïque unique en Val de Loire 

Pionnière dans le Val de Loire, une centrale agrivoltaïque expérimentale est installée depuis ce printemps au domaine Château…

Le nouveau bâtiment de 1 700 m2 mesure 18 m de large.
Un bâtiment neuf de 1 700 m2
Le groupement volailles de Terrena soutient la construction nouveaux bâtiments. Témoignage de Nicolas Ramond, qui dispose d'un…
A Bellême dans l'Orne, les FDSEA et les JA ont organisé une manifestation symbolique vendredi, pendant pendant qu'Emmanuel Macron était à Belém, au Brésil.
Un jour c'est oui, le lendemain c'est non
En moins d'une semaine, le président de la République s'est tour à tour déclaré « plutôt positif » au traité UE…
Le lavage mécanique des serres Avec le blanchiment et le déblanchiment, Traita Service s'est spécialisé dans cette activité qui contribue à maintenir les équipements en bon état.
Traita rayonne dans
toute la France
Implantée à Noyant-Villages (Auverse), l'entreprise Traita et ses deux filiales, Traita Service et Traita Agro, intervient pour…
Le sol sableux irrigué facilite le travail du sol sur la station qui emploie 20 permanents.
à brion, le geves évalue
les semences
L'unité expérimentale du Geves (Groupe d'étude et de contrôle des variétés et des semences), aux Bois d'Anjou (Brion) est…
Hausse de l'indice des fermages

En 2025, l'indice de fermage s'établit à 123,06, soit une augmentation de  +0,42 %.

Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 176€/an
Liste à puce
Consulter l'édition du journal l'Anjou agricole au format papier et numérique
Accédez à tous les articles du site l'Anjou agricole
Ne manquez aucune information grâce à la newsletter d'actualités
L’accès aux dossiers thématiques
Une revue Réussir spécialisée par mois