Aller au contenu principal

Retard dans la floraison, la récolte repoussée de deux semaines

Avec un hiver doux, un printemps plutôt froid et un début d’été pluvieux, la floraison a pris du retard dans les vergers. Reportage dans une exploitation de pommes à cidre.

En plus des retards de floraison dus à un début d’hiver plutôt doux et des mois de février et mars froids, la pluie a fortement augmenté le risque de maladie des arbres.
En plus des retards de floraison dus à un début d’hiver plutôt doux et des mois de février et mars froids, la pluie a fortement augmenté le risque de maladie des arbres.
© AA

Cette année, tout comme en 2013, le temps n’a pas joué en faveur des vergers. « Pour les judeline et les judaine, qui sont des variétés à floraison précoce, celle-ci s’est effectuée aux alentours du 5 mai, alors qu’elle a eu lieu le 18 avril l’année dernière, explique Emile Leclerc, arboriculteur au sein du Gaec de la Poulinière, situé sur la commune de Saint-Martin-du-Bois. Pour des variétés à floraison tardive, on était en floraison le 5 mai l’année dernière. Elle s’est déroulée vers le 20 mai cette année. Bref, il y a un retard de deux à trois semaines, quelle que soit la variété. »
En cause : un début d’hiver doux, provocant même une floraison précoce dans le courant de l’automne, empêchant l’arrivée de nombreuses fleurs sur l’année suivante, mais aussi des mois de février et mars particulièrement froids, ralentissant la floraison des pommiers.

 

Retrouvez l'intégralité de l'article dans L'Anjou agricole du 8 juillet.

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout l'Anjou Agricole.

Les plus lus

Le lavage mécanique des serres Avec le blanchiment et le déblanchiment, Traita Service s'est spécialisé dans cette activité qui contribue à maintenir les équipements en bon état.
Traita rayonne dans
toute la France
Implantée à Noyant-Villages (Auverse), l'entreprise Traita et ses deux filiales, Traita Service et Traita Agro, intervient pour…
Les partenaires du projet Vitivolt : Xavier Besson (LDDV), James Ronsin-Coumel (Altarea énergies renouvelables), Bertrand Pinel, chef de projet Vitivolt (Terrena Innovation), David Grellier (domaine Château la Varière), Jean-Philippe Priarollo (Terrena Energies).
Un démonstrateur agrivoltaïque unique en Val de Loire 
Pionnière dans le Val de Loire, une centrale agrivoltaïque expérimentale est installée depuis ce printemps au domaine Château la…
Les candidats devaient reconnaître, en fonction des catégories, entre 20 à 40 plantes, puis les nommer selon la nomenclature botanique (famille/genre/espèce/cultivar/nom commun). 
Les experts en concours à Terra Botanica
Les 1er et 2 octobre, le parc Terra Botanica à Angers a accueilli la finale nationale du concours de reconnaissance des végétaux…
Félicitations !

Valentin Beaumard est l'heureux gagnant du jeu concours organisé par l'Anjou Agricole au Festi'élevage 2025 et remporte 1 an d…

L'unité de méthanisation fonctionne depuis 2018 sur l'exploitation du Gaec de la petite Ferronnière, à Briollay.
Quel avenir pour la cogénération ?
Engagés depuis quelques années dans la méthanisation à la ferme, des agriculteurs du Maine-et-Loire questionnent aujourd'hui la…
Dans la parcelle, le trèfle, semé à une densité de 13 kg/ha, coexiste avec des repousses de colza, lors de l'implantation du blé, lundi 27 octobre à Miré.
À Miré, un blé semé sous les trèfles
Adepte de l'agriculture de conservation des sols, Emmanuel Landeau pratique le semis de blé sous couvert de trèfle. Il en…
Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 176€/an
Liste à puce
Consulter l'édition du journal l'Anjou agricole au format papier et numérique
Accédez à tous les articles du site l'Anjou agricole
Ne manquez aucune information grâce à la newsletter d'actualités
L’accès aux dossiers thématiques
Une revue Réussir spécialisée par mois