Aller au contenu principal

Un engouement pour le Label Rouge

L’association Vendée Qualité-section Boeuf fermier est intervenue lors de l’assemblée générale d’Elvéa 49, le vendredi 13 décembre au Moulin du Drapras, à Chemillé-en-Anjou. Elle a présenté la démarche Label Rouge.

Jean Sebastien Bidet, président d'Elvéa 49.
Jean Sebastien Bidet, président d'Elvéa 49.
© AA

Dans le cadre du plan de filière viande bovine issu de la loi Egalim, il est inscrit l’objectif de faire passer le volume de viandes Label Rouge, d’à peine 2 % actuellement, à 40 % d’ici 5 ans. L’association Qualité Vendée est confiante : « on sent un engouement », souligne Ophélie Ragot, l’animatrice de la section Boeuf fermier, qui intervenait le 13 décembre à l’AG d’Elvéa 49. « 35 magasins U de la Vendée basculent à 100 % en Label Rouge en cette fin d’année. Système U 49 et 44 veulent également le faire au cours du 1er trimestre 2020. Des discussions sont en cours, avec des volumes conséquents », précise l’animatrice.
Le cahier des charges Label Rouge de Vendée Qualité exige que les animaux soient nés, élevés et engraissés sur la même exploitation, des animaux de toutes races à viande. L’alimentation est garantie sans OGM, sans urée et sans huile de palme. Avec une plus-value pour les éleveurs. Un certain nombre d’entre eux se demandent toutefois s’ils peuvent entrer dans la démarche, notamment par rapport au critère de chargement (moins de 2 UGB/ha et plus de 30 ares de prairie par UGB). Ophélie Ragot s’est voulue rassurante : « oui, on peut entrer dans la démarche même si l’on a des taurillons ».
Restent des questions : quel accueil fera le consommateur à cette montée en gamme proposée ? L’ensemble de la carcasse pourrat-elle être valorisée à son juste prix ?

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout l'Anjou Agricole.

Les plus lus

Les candidats devaient reconnaître, en fonction des catégories, entre 20 à 40 plantes, puis les nommer selon la nomenclature botanique (famille/genre/espèce/cultivar/nom commun). 
Les experts en concours à Terra Botanica
Les 1er et 2 octobre, le parc Terra Botanica à Angers a accueilli la finale nationale du concours de reconnaissance des végétaux…
Le lavage mécanique des serres Avec le blanchiment et le déblanchiment, Traita Service s'est spécialisé dans cette activité qui contribue à maintenir les équipements en bon état.
Traita rayonne dans
toute la France
Implantée à Noyant-Villages (Auverse), l'entreprise Traita et ses deux filiales, Traita Service et Traita Agro, intervient pour…
Félicitations !

Valentin Beaumard est l'heureux gagnant du jeu concours organisé par l'Anjou Agricole au Festi'élevage 2025 et remporte 1 an d…

L'unité de méthanisation fonctionne depuis 2018 sur l'exploitation du Gaec de la petite Ferronnière, à Briollay.
Quel avenir pour la cogénération ?
Engagés depuis quelques années dans la méthanisation à la ferme, des agriculteurs du Maine-et-Loire questionnent aujourd'hui la…
Hausse de l'indice des fermages

En 2025, l'indice de fermage s'établit à 123,06, soit une augmentation de  +0,42 %.

Plus de 110 éleveurs étaient présents à la réunion du Lion d'Angers.
Salle comble au Lion d'Angers

FDSEA, JA, Chambre d'agriculture et GDS organisent des réunions d'information sur le contexte sanitaire.

Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 176€/an
Liste à puce
Consulter l'édition du journal l'Anjou agricole au format papier et numérique
Accédez à tous les articles du site l'Anjou agricole
Ne manquez aucune information grâce à la newsletter d'actualités
L’accès aux dossiers thématiques
Une revue Réussir spécialisée par mois