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Un passage ­réussi en vêlage 24 mois

A l’occasion des rendez-vous de l’élevage viande, une journée était organisée, mardi 6 décembre, sur l’exploitation de Bruno Guegnard, éleveur de charolaises.

Bruno Guegnard, éleveur de charolaises à l’EARL du Grand Villiers, à Cléré-sur-Layon.
Bruno Guegnard, éleveur de charolaises à l’EARL du Grand Villiers, à Cléré-sur-Layon.
© AA

Alors que la morte saison commence, élevage Conseil Loire Anjou, évolution et les Chambres d’agriculture du Maine-et-Loire et de Loire-Atlantique organisaient, du 24 novembre au 6 décembre, une série de 3 journées dédiées à l’élevage. Mardi 6 décembre, 70 éleveurs participaient à la journée du sud du Maine-et-Loire qui se déroulait chez Bruno ­Guegnard, éleveur de charolaises à Cléré-sur-Layon. Cet agriculteur a décidé, il y a maintenant plusieurs années, de passer sur un vêlage 24 mois. « Attendre 3 ans pour faire vêler une génisse c’est vraiment long, explique l’éleveur. 30 mois pourrait être un bon chiffre mais c’est peu pratique. Je préfère grouper mes vêlages sur l’automne. »


Tri des génisses
Pour faciliter les vêlages, l’agriculteur fait appel à des taureau du catalogue offrant une facilité de vêlage avérée, mais il fait aussi un tri. Ainsi les génisses n’atteignant pas un poids de 470 kg sont envoyées en engraissement plutôt qu’en insémination. « Avant je les faisais attendre un an de plus, continue-t-il, mais maintenant, il y a un débouché pour ces génisses peu précoces, autant en profiter. »

 

Article complet dans l'édition du 9 décembre 2016 de l'Anjou agricole.

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