Aller au contenu principal

Une traite de qualité et optimisée

Pour faire face à l’accroissement du troupeau, un nouveau robot de traite DeLaval, le VMS V300 a été installé au Gaec de l’Egrasseau à Beaupréau-en-Mauges.

Le Gaec de l’Egrasseau a ouvert ses portes pour présenter le nouveau robot de traite DeLaval, jeudi 5 décembre à Beaupréau-en-Mauges.
Le Gaec de l’Egrasseau a ouvert ses portes pour présenter le nouveau robot de traite DeLaval, jeudi 5 décembre à Beaupréau-en-Mauges.
© AA

Le troupeau de vaches laitières est en phase d’agrandissement au Gaec de l’Egrasseau. « Nous allons monter à 90 prim’holstein », a expliqué Pascal Chevalier, un des 3 frères associés, lors d’une porte ouverte organisée sur l’exploitation, jeudi 5 décembre, par Modema Agri. La production de lait passera alors de 700 000 l à 950 000 l. « Un robot est saturé avec 70 vaches. C’est pour cette raison que nous avons investi dans un deuxième robot. » Le Gaec se fixe comme objectif que les 90 vaches soient en production pour le début de la campagne laitière, en avril 2020. Les associés sont déjà habitués à la traite robotisée et l’apprécient. Le premier robot a rejoint l’exploitation en avril 2013. « Au delà de la souplesse pour l’organisation du travail, c’est un soulagement physiquement », constate Pascal Chevalier, en charge du troupeau laitier au sein du Gaec. Depuis l’installation du premier robot, la production de lait par vache a augmenté. « On était à 9 500 à 10 000 litres de lait par vache par lactation. Aujourd’hui, elles produisent en moyenne 11 000 litres par lactation. »

« Grâce à la technologie DeLaval Insight et sa caméra numérique, le robot détecte parfaitement les trayons, explique Jean-Paul Péan, inspecteur commercial pour la marque. Cette détection ultra précise permet de gagner du temps : « entre 30 secondes et 1 minutes par vache traite ». Même si le robot n’est installé que depuis 10 jours, Pascal Chevalier a tout de suite vu la différence. « Le bras est plus souple. Les branchements se font de manière plus efficace. » Autre nouveauté : le système Pureflow qui améliore la qualité de la traite. Le gobelet nettoie les trayons, extrait les 1ers jets dans un circuit indépendant du lait de consommation et va les sécher. « Ce système va permettre d’avoir une mamelle plus stimulée avant la pose des gobelets trayeurs. » Coût de ce nouveau robot : « entre 130 et 135 000 euros selon les options », estime Pierre-Etienne Humeau, spécialiste robots et équipements d’élevage chez Modema Agri.

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout l'Anjou Agricole.

Les plus lus

A gauche, le préfet Philippe Chopin invité à inspecter un lot de blancs de poulets d'origine thaïlandaise. À droite, l'arboriculteur Sylvain Kupperroth, expliquant les difficultés rencontrées dans son secteur. 
Le "banquet de la honte" dressé devant la préfecture 
Dans le cadre d'un appel national à mobilisation, des adhérents de la FDSEA et de JA49 ont dénoncé, vendredi 26 septembre à…
Vendredi 19 septembre, l'entreprise Defois est intervenue à Chanteloup les bois.
De bons rendements 2025

La récolte du tournesol est bien avancée dans le Maine-et-Loire. Les rendements des premières parcelles avoisinent 25 q/ha.

GOCO2 : un projet d'envergure
Depuis 2021, Heidelberg Materials, Lafarge Ciments, Lhoist, NaTran et Elengy travaillent ensemble sur GOCO2 (Grand Ouest CO2), un…
Campagne d'information de la gendarmerie
Vol de GPS : rappel des bonnes pratiques
La gendarmerie nationale communique sur les bonnes pratiques à adopter contre le vol de matériel agricole.
De gauche à droite : Éric Forin, Directeur général de Terrena, Olivier Chaillou, Président de Terrena, Bernard Guillard, Président d'Agrial et Julien Heillaut, Directeur général d'Agrial.
La naissance d'un futur géant ?

Dans un communiqué le 22 septembre, les coopératives Agrial et Terrena ont annoncé s'être lancées dans un projet de "…

Les candidats devaient reconnaître, en fonction des catégories, entre 20 à 40 plantes, puis les nommer selon la nomenclature botanique (famille/genre/espèce/cultivar/nom commun). 
Les experts en concours à Terra Botanica
Les 1er et 2 octobre, le parc Terra Botanica à Angers a accueilli la finale nationale du concours de reconnaissance des végétaux…
Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 176€/an
Liste à puce
Consulter l'édition du journal l'Anjou agricole au format papier et numérique
Accédez à tous les articles du site l'Anjou agricole
Ne manquez aucune information grâce à la newsletter d'actualités
L’accès aux dossiers thématiques
Une revue Réussir spécialisée par mois