Aller au contenu principal

Une trémie indépendante au Tremblay

Après avoir été présentée en 2019, la trémie frontale Amazone FTender 1 600 sème ses premières cultures, pour la Cuma des éleveurs du Tremblay.

Avec un débit de chantier de 2,5 ha/h en moyenne (pour le semis), cet outil polyvalent et fiable permettra à la Cuma d’effectuer semis, déchaumage ou encore épandage d’engrais.
Avec un débit de chantier de 2,5 ha/h en moyenne (pour le semis), cet outil polyvalent et fiable permettra à la Cuma d’effectuer semis, déchaumage ou encore épandage d’engrais.
© AA

Présentées lors du salon Agritechnica en 2019, les trémies frontales d’Amazone FTender
1 600 et 2 200 font leurs gammes en France. La Cuma des éleveurs du Tremblay est l’un des premiers organismes en France à en faire l’acquisition.

De la polyvalence
4 salariés d’Amazone se sont déplacés afin d’observer Pierre-Antoine Hoinard semer un mélange ray-gras et trèfle, sur les parcelles d’Alain Denieulle, au Tremblay. La trémie frontale FTender d’Amazone est proposée avec un volume de remplissage de 1 600 ou 2 200 litres. Le remplissage est facile grâce à l’ouverture de 1,1 m par 2,2 m. Mais ce qui apporte un réel plus pour la Cuma, qui compte une cinquantaine d’adhérents, c’est la polyvalence de l’outil. « Avant, on avait déjà une trémie frontale d’Amazone. La grosse nouveauté se situe dans le passage au système Isobus, qui permettra de gagner en souplesse, en débit de chantier et en polyvalence ». Le système Isobus est une norme de communication informatique entre le tracteur et les différents outils, particulièrement utile pour l’agriculture de précision. Cette trémie en Isobus permet ainsi d’être utilisée avec tous les outils disposant de ce langage informatique. Ainsi, la nouvelle trémie frontale offre plusieurs possibilités, que ce soit lors de l’implantation d’une culture, d’une inter-culture ou pour apporter un engrais au semis. Cet outil peut être combiné à un déchaumeur à disques ou à dents, pour l’implantation d’un couvert ou à un semoir, soit pour accroître son autonomie en semence, ou permettre l’apport d’engrais.

90 000 €
C’est l’indépendance de la trémie qui a convaincu les agriculteurs de la Cuma d’investir près de 90 000 €, comprenant la trémie frontale et le semoir de 6 m. L’achat s’est effectué auprès du concessionnaire Castel Agri, de Châteaubriant (44). « Pour le moment, il y a une dizaine de machines qui tournent en France, et nous sommes en train d’affiner l’utilisation en plein champ », témoigne Samuel Germond, du service technique d’Amazone. Au Tremblay, le semoir et la trémie frontale ont permis d’effectuer les derniers semis de colza, et de semer les SIE.
« Les débuts sont prometteurs, avec une bonne qualité de travail », constate, enthousiaste, Pierre-Antoine Hoinard.

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout l'Anjou Agricole.

Les plus lus

Le lavage mécanique des serres Avec le blanchiment et le déblanchiment, Traita Service s'est spécialisé dans cette activité qui contribue à maintenir les équipements en bon état.
Traita rayonne dans
toute la France
Implantée à Noyant-Villages (Auverse), l'entreprise Traita et ses deux filiales, Traita Service et Traita Agro, intervient pour…
Les candidats devaient reconnaître, en fonction des catégories, entre 20 à 40 plantes, puis les nommer selon la nomenclature botanique (famille/genre/espèce/cultivar/nom commun). 
Les experts en concours à Terra Botanica
Les 1er et 2 octobre, le parc Terra Botanica à Angers a accueilli la finale nationale du concours de reconnaissance des végétaux…
Félicitations !

Valentin Beaumard est l'heureux gagnant du jeu concours organisé par l'Anjou Agricole au Festi'élevage 2025 et remporte 1 an d…

L'unité de méthanisation fonctionne depuis 2018 sur l'exploitation du Gaec de la petite Ferronnière, à Briollay.
Quel avenir pour la cogénération ?
Engagés depuis quelques années dans la méthanisation à la ferme, des agriculteurs du Maine-et-Loire questionnent aujourd'hui la…
Dans la parcelle, le trèfle, semé à une densité de 13 kg/ha, coexiste avec des repousses de colza, lors de l'implantation du blé, lundi 27 octobre à Miré.
À Miré, un blé semé sous les trèfles
Adepte de l'agriculture de conservation des sols, Emmanuel Landeau pratique le semis de blé sous couvert de trèfle. Il en…
Hausse de l'indice des fermages

En 2025, l'indice de fermage s'établit à 123,06, soit une augmentation de  +0,42 %.

Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 176€/an
Liste à puce
Consulter l'édition du journal l'Anjou agricole au format papier et numérique
Accédez à tous les articles du site l'Anjou agricole
Ne manquez aucune information grâce à la newsletter d'actualités
L’accès aux dossiers thématiques
Une revue Réussir spécialisée par mois