Aller au contenu principal

Viande et lait : l'UFC Que Choisir s'impatiente sur l'étiquetage de l'origine

© jc gutner

L'UFC-Que Choisir s'impatiente sur l'étiquetage de l'origine du lait et de la viande : les industriels ont depuis janvier 2017 l'obligation d'indiquer l'origine du lait et de la viande qu'ils mettent en oeuvre dans la fabrication de leurs produits transformés.

Or, dans plus d'un cas sur deux, l'industrie alimentaire « s'obstine à maintenir l'opacité sur l'origine des ingrédients qu'elle utilise », indique une enquête de l'association publiée le 3 avril. Cette absence d'information « est d'autant plus inadmissible que les fabricants disposaient d'un délai de mise en oeuvre suffisamment long » : les modalités détaillées d'étiquetage ont été définies en juillet dernier et une tolérance de trois mois après l'entrée en vigueur de la mesure a été accordée, soit jusqu'au 31 mars, s'irrite l'UFC-Que Choisir.

Un produit sur 5 ne mentionne « pas la moindre origine des ingrédients ». De plus, près d'un produit étiqueté sur deux est étiqueté «origine UE», notion d'origine «plus vague» dans laquelle «les fabricants se sont engouffrés pour près d'un produit étiqueté sur deux».

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout l'Anjou Agricole.

Les plus lus

Les asperges blanches représentent 80% de la consommation mais 95% de la production française.
Fleuron d'Anjou recherche des producteurs d'asperges
La coopérative Fleuron d'Anjou veut développer la production d'asperges, visant un volume de 1 000 T à 5 ans. Elle recherche des…
Encore trop d'eau pour les semis

Les mauvaises conditions d'implantation des céréales d'automne ont induit un basculement des surfaces vers des variétés de…

Entre 12 et 15 cm de hauteur d'herbe chez Jonathan Bertrand. Sorties 10 jours fin mars, ses vaches sont à nouveau consignées à l'intérieur, faute de portance.
Mise à l'herbe : de timides débuts

Limités jusqu'ici par la portance des sols, certains éleveurs se sont décidés à mettre à l'herbe des animaux, avec parfois des…

Laurent Martin contrôle la production de ses panneaux sur son téléphone. L'optimiseur des onduleurs permet de superviser les modules (température, production, ampérage) et sécurise l'installation.
Une stabulation pour les vaches grâce au photovoltaïque
Éleveur de charolaises à Lys-Haut-Layon, Laurent Martin a financé la construction d'une stabulation pour son troupeau allaitant…
Les agriculteurs dénoncent les promesses du gouvernement non tenues, le manque de solutions à court terme pour leurs trésoreries en difficultés mais aussi de solutions à long terme pour éviter que ce scénario ne se répète à chaque début de programmation.
Promesses non tenues et manque de solutions concrètes 

Le 20 mars 2024, les représentants FRSEA et JA des commissions agriculture biologique et environnement ont rencontré la DRAAF…

Guillaume Aubert élève un troupeau de 65 vaches montbéliardes. Il est associé avec ses parents et son frère au sein du Gaec des Alezanes.
Autonome pour l'insémination de son troupeau laitier

Éleveur au Louroux-Béconnais, Guillaume Aubert a suivi une formation à l'insémination avec Innoval. Depuis, il a vu les…

Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 176€/an
Liste à puce
Consulter l'édition du journal l'Anjou agricole au format papier et numérique
Accédez à tous les articles du site l'Anjou agricole
Ne manquez aucune information grâce à la newsletter d'actualités
L’accès aux dossiers thématiques
Une revue Réussir spécialisée par mois