Aller au contenu principal

Des étoiles pour différencier les morceaux de viande

La dénomination simplifiée des morceaux de bœuf, agneau et veau vient de faire son entrée en grande surface.

La nouvelle dénomination des morceaux de viande n’a pas changé le travail des salariés de la grande surface de Mûrs-Erigné.
La nouvelle dénomination des morceaux de viande n’a pas changé le travail des salariés de la grande surface de Mûrs-Erigné.
© AA

Trois, deux ou une étoile. A l’image des restaurants ou des hôtels, la viande a aussi ses étoiles dans les rayons de libre service de la grande surface. « Plus la viande est tendre, plus il y a d’étoiles », résume Jean-Luc Bossard, manager des produits frais du Hyper U de Mûrs-érigné. Elles permettent aux consommateurs d’identifier les différences de qualité d’un même morceau comme le bourguignon ou le steak.


Pas de révolution
Dans la grande surface de Mûrs-érigné, cette simplification de la dénomination des morceaux de viande a été mise en place depuis la mi-décembre. Elle concerne le bœuf, le veau et l’agneau. « On pensait que ce serait la révolution pour nos consommateurs, mais en réalité, on a eu peu de retour. » à vrai dire, pour se rendre compte du changement, il faut avoir un œil aguerri. Les étoiles sont inscrites de manière discrète sur l’étiquette à côté de la dénomination du morceau. Le responsable des rayons frais regrette d’ailleurs qu’« aucun outil de communication ne nous ait été fourni ». C’est donc à la grande surface de communiquer auprès de ses clients. « Nous avons formé les filles qui sont à la mise en rayon sur la définition de ces étoiles », explique Pascale Laflèche, la responsable du rayon boucherie.

Avec cette nouvelle dénomination, plus de place pour tous les noms des morceaux de viande. « Un gite de noix ou une bavette de fanchet deviennent, tous les deux, un steak une étoile », constate Pascale Laflèche. Un changement qui pose problème, pour certains : « quand j’achète un roti de veau, je veux de la noix. Si ce n’est plus indiqué, comment je fais ? », s’interroge une dame devant le rayon de la viande de veau.

Retrouvez l'intégralité de l'article dans l'Anjou agricole du 6 février.

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout l'Anjou Agricole.

Les plus lus

Simon et Didier Trovalet, devant le nouveau siège social, en construction à l'entrée de Saint-Augustin des Bois. L'entreprise investit 2 millions d'euros dans sa réorganisation interne.
Prefakit construit
son avenir
Marchés en plein développement, recrutements, et bientôt nouveau siège social. Implantée à Saint-Augustin des Bois depuis 77 ans…
Sébastien Ferrard, du Gaec du Pâtis Candé. Sur cette parcelle sableuse, auparavant en prairie, l'agriculteur a pu semer un maïs à indice 270-300.
Des chantiers décalés par les pluies
Les semis de maïs devraient pouvoir reprendre en fin de semaine. Certains agriculteurs ont pu déjà semer fin avril début mai,…
Lundi 22 avril, Claude Thouin a implanté de la lentille verte, du pois chiche et de l'œillette. Ces trois cultures sont sous contrat avec la CAPL.
À Bécon, Claude Thouin se diversifie avec des cultures de niche
Faute d'avoir pu implanter toute sa surface de céréales à l'automne, Claude Thouin a choisi de diversifier son assolement en…
Daniel Rochard (JRC Solaire) et Christophe Cesbron (Serres JRC). A droite : les nouveaux haubans photovoltaïques.
Plus d'autonomie énergétique avec les haubans photovoltaïques
JRC Solaire conçoit des haubans photovoltaïques visant à accroître l'autonomie énergétique des exploitations maraîchères et…
265 personnes ont participé à l'assemblée générale mardi 16 avril.
Nuisibles : la force du collectif
La fédération départementale des groupements de défense contre les organismes nuisibles (FDGDON49) a tenu son assemblée générale…
Après la banque,
le choix de l'élevage
Après une première carrière  en tant que conseiller bancaire, Geoffroy Barillé a décidé de revenir en 2022 sur l'élevage…
Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 176€/an
Liste à puce
Consulter l'édition du journal l'Anjou agricole au format papier et numérique
Accédez à tous les articles du site l'Anjou agricole
Ne manquez aucune information grâce à la newsletter d'actualités
L’accès aux dossiers thématiques
Une revue Réussir spécialisée par mois