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A la quête d'une meilleure valorisation

A Chambellay, Geoffroy Deschères a présenté son élevage de blondes d'Aquitaine, lors de l'assemblée générale du syndicat de la race du département, jeudi 5 mars.

© AA

« L'élevage de Geoffroy Deschères est basé sur un système naisseur », explique la conseillère Seenovia Chloë Picchiottino, lors de l'assemblée générale du syndicat des éleveurs de blondes d'Aquitaine du département.

Diversifier les débouchés
à Chambellay, en plus de son atelier de veaux de boucherie, l'agriculteur élève un troupeau de 30 vaches sur 66 hectares. Chaque année, il compte 40 vêlages sur son exploitation. « Les vaches et quelques génisses sont engraissées, les broutards sont vendus pour l'engraissement et je vends en moyenne 3 reproducteurs par an », précise l'éleveur. En plus, 2 à 3 veaux et une vache sont commercialisés en vente directe. « Les clients sont en demande puisqu'on appelle pour savoir quand se déroulera la prochaine vente ». Pour une meilleure valorisation, l'agriculteur cherche aussi à diversifier ses débouchés. Aujourd'hui, il vend auprès d'un marchand de bestiaux. Et confie être un peu perdu dans les prix du marché. « En ce moment, mes vaches partent pour 4,20 EUR - 4,50 EUR kilo carcasse. »  C'est pour cette raison qu'il a commencé à démarcher des bouchers. Les prix pratiqués ? 5 à 6 EUR/kg carcasse. Leurs exigences ? « Des animaux avec une bonne conformation et des bon bas de cuisse. »

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