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EGA : ' la future loi sera une expérimentation pour 2 ans '

La présidente de la FNSEA aborde cette semaine de clôture des États généraux de l’alimentation « avec beaucoup d’attente ».

Christiane Lambert demande au président de la République et au Premier ministre " de ne rien lâcher ", d’autant que " les distributeurs sont redevenus des prédateurs dans les négociations en cours, avec des demandes de baisse des prix allant de 2 à 10 % et une volonté de faire payer aux industries les ruptures d’approvisionnement en beurre ".
Christiane Lambert demande au président de la République et au Premier ministre " de ne rien lâcher ", d’autant que " les distributeurs sont redevenus des prédateurs dans les négociations en cours, avec des demandes de baisse des prix allant de 2 à 10 % et une volonté de faire payer aux industries les ruptures d’approvisionnement en beurre ".
© Actuagri

" Les agriculteurs veulent du concret ", a-t-elle insisté le 18 décembre. La FNSEA demande que cinq points apparaissent clairement dans la future loi de modernisation des relations commerciales : vulgariser les contrats qui prennent en compte les coûts de production ; une possible renégociation des prix de la part des industries agroalimentaires auprès des distributeurs ; l’encadrement des promotions ; une sanction des prix abusivement bas ; un seuil de revente à perte (SRP) " correctement appliqué et non dévoyé ".

 

Selon les premiers éléments qui lui ont été présentés par le ministère de l’Agriculture, le projet de loi reprend une bonne partie de ces points, " mais ce n’est pas clair sur la renégociation et il ne s’agirait que d’une expérimentation pour 2 ans ", a précisé Christiane Lambert. Quant au seuil de revente à perte, " il y a beaucoup de vents contraires, a-t-elle insisté. Il est hors de question que ce soit 2 % comme le veut M.-E. Leclerc. Nous demandons 15 % ".

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