Aller au contenu principal

Formations agricoles : quelle place pour le bio et l'agro-écologie ?

La Chambre d'agriculture des Pays-de-la-Loire organisait, à Angers, lundi 28 novembre, une grande journée de débat, dédiée aux enseignants et formateurs agricoles, autour de l'agriculture biologique et de l'agro-écologie.

Christian Peltier, animateur du réseau national de l'éducation au développement durable pour la DGER (Direction générale de l'enseignement et de la recherche).
Christian Peltier, animateur du réseau national de l'éducation au développement durable pour la DGER (Direction générale de l'enseignement et de la recherche).
© AA

"Agriculture biologique, agro-écologie... De quoi parle-t-on ?" tel était le thème de la journée débat sur le bio organisée par la Chambre d'agriculture des Pays-de-la-Loire pour les formateurs et les enseignants agricoles. Une centaine d'entre-eux avaient fait le déplacement, lundi 28 novembre, à Angers pour y participer.

Au programme : intervention de spécialistes (ingénieurs, agronomes, sociologues...), témoignages d'agriculteurs, échanges et débat entre les différents participants. Au coeur des débats, une question : "comment intégrer l'agro-écologie à l'enseignement agricole ?" « Avec 23 GIEE et plus de 20 groupes ­Déphy dans les Pays-de-la-Loire, la région doit pouvoir préparer ses jeunes au monde changeant », explique Léna Leducq, chargée de mission SRFD-Draaf Pays-de-la-Loire.

Equiper l'oeil de concepts

Animateur du réseau national d'éducation au développement durable pour la DGER, Christian Peltier, a donné plusieurs pistes pour arriver à intégrer l'agro-écologie dans l'enseignement : « l'oeil doit être équipé de concepts pour pouvoir lire les informations. Les concepts clés sont en train de se multiplier en agro-écologie. Il est parfois difficile de faire le tri, mais il ne faut pas hésiter à aider les jeunes à s'équiper de ces outils. Ils doivent pouvoir se baser sur des modèles théoriques pour pouvoir aborder au mieux les différents aspects du domaine. » Au centre de sa réflexion, une doctrine : « ne plus enseigner une solution comme la solution » et la volonté d'intégrer le plus d'acteurs possible à la démarche.


Article complet dans l'édition du 2 décembre 2016 de l'Anjou agricole.

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout l'Anjou Agricole.

Les plus lus

Simon et Didier Trovalet, devant le nouveau siège social, en construction à l'entrée de Saint-Augustin des Bois. L'entreprise investit 2 millions d'euros dans sa réorganisation interne.
Prefakit construit
son avenir
Marchés en plein développement, recrutements, et bientôt nouveau siège social. Implantée à Saint-Augustin des Bois depuis 77 ans…
Sébastien Ferrard, du Gaec du Pâtis Candé. Sur cette parcelle sableuse, auparavant en prairie, l'agriculteur a pu semer un maïs à indice 270-300.
Des chantiers décalés par les pluies
Les semis de maïs devraient pouvoir reprendre en fin de semaine. Certains agriculteurs ont pu déjà semer fin avril début mai,…
Lundi 22 avril, Claude Thouin a implanté de la lentille verte, du pois chiche et de l'œillette. Ces trois cultures sont sous contrat avec la CAPL.
À Bécon, Claude Thouin se diversifie avec des cultures de niche
Faute d'avoir pu implanter toute sa surface de céréales à l'automne, Claude Thouin a choisi de diversifier son assolement en…
Daniel Rochard (JRC Solaire) et Christophe Cesbron (Serres JRC). A droite : les nouveaux haubans photovoltaïques.
Plus d'autonomie énergétique avec les haubans photovoltaïques
JRC Solaire conçoit des haubans photovoltaïques visant à accroître l'autonomie énergétique des exploitations maraîchères et…
265 personnes ont participé à l'assemblée générale mardi 16 avril.
Nuisibles : la force du collectif
La fédération départementale des groupements de défense contre les organismes nuisibles (FDGDON49) a tenu son assemblée générale…
Après la banque,
le choix de l'élevage
Après une première carrière  en tant que conseiller bancaire, Geoffroy Barillé a décidé de revenir en 2022 sur l'élevage…
Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 176€/an
Liste à puce
Consulter l'édition du journal l'Anjou agricole au format papier et numérique
Accédez à tous les articles du site l'Anjou agricole
Ne manquez aucune information grâce à la newsletter d'actualités
L’accès aux dossiers thématiques
Une revue Réussir spécialisée par mois