Aller au contenu principal

Normandes 
Définir les objectifs de sélection de demain

En assemblée générale à Lasse le 26 juin, les éleveurs de vaches normandes de Maine-et-Loire se sont penchés sur l'avenir de la race, avant de visiter le Gaec de Parigné l'après-midi. 

David Le Bullenger, de l'OS normande, a présenté aux éleveurs la plus-value possible en s'engageant dans la filière Ma Normande Locale. 
David Le Bullenger, de l'OS normande, a présenté aux éleveurs la plus-value possible en s'engageant dans la filière Ma Normande Locale. 

Quel avenir pour la normande, au regard de l'érosion des effectifs ? L'OS normande a estimé l'évolution du cheptel. "Si la baisse actuelle du nombre de vaches, d'environ -3,2 % par an, se poursuit sur les 10 prochaines années, on arriverait en 2034 à un effectif de 165 000 vaches, contre 229 000 en 2024", a indiqué Jean-Michel Peudenier, responsable technique et génétique à l'OS normande, lors de l'AG du syndicat normand de Maine-et-Loire. Le nombre de vaches contrôlées pourrait descendre de 145 000 en 2024 à 104 000 en 2034. L'activité génotypage, en revanche, se développerait à raison de 10 % par an. "Ces deux populations sont très stratégiques pour développer des index fiables, qui durent dans le temps", a-t-il souligné. Dans ce contexte, l'OS interroge les éleveurs pour savoir vers quelle organisation raciale ils souhaitent aller. Une enquête leur a été adressée, en même temps qu'une autre enquête consacrée elle, à la réforme de l'Isu.

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout l'Anjou Agricole.

Les plus lus

Le président de la FDSEA49, Emmanuel Lachaize, a exprimé les revendications des filières concernant le stockage de l'eau.
La ministre défend le stockage de l'eau pour toutes les filières

En visite en Anjou, la ministre de l'Agriculture a annoncé une enveloppe de 11 millions d'euros pour les projets de recherche…

Le maïs non irrigué de Jean-Marie Bouvet, à la Jaille-Yvon, n'a quasiment pas levé, faute de pluies suffisantes lors de son implantation fin avril. Mêmes les adventice ne lèvent pas dans cette parcelle.
Le thermomètre monte, les cultures ont soif 
Le déficit hydrique et les températures élevées inquiètent les agriculteurs. Le potentiel de rendement pourrait être réduit si…
Alain Denieulle a remercié Bernard Bellanger pour ses 8 années à la présidence de la Safer Pays de la Loire.
Alain Denieulle succède à Bernard Bellanger à la présidence
Suite à l'assemblée générale de la Safer Pays de la Loire, jeudi 19 juin, à Beaucouzé, Alain Denieulle a été élu à la présidence…
Bertrand Métayer partait plusieurs fois par an en mission, comme ici au Burkina Faso.
35 ans au service
du développement
Depuis août 1990, Bertrand Métayer était animateur à l'Afdi Pays de la Loire. À l'heure de prendre sa retraite, il retrace les…
Amaury de Gavelle, responsable adjoint du service céréales au groupe UAPL. 
De l'intérêt agronomique et économique des rotations longues 

La CAPL a calculé la valeur ajoutée des filières "Perles d'Anjou" à l'échelle de la rotation. Les rotations longues et…

Philippe Bolo, député de la 7e circonscription de Maine-et-Loire.
"Il ne faut pas diaboliser la consommation de viande"
Le député de la 7ème circonscription de Maine-et-Loire Philippe Bolo  a présenté les conclusions du rapport sur les…
Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 176€/an
Liste à puce
Consulter l'édition du journal l'Anjou agricole au format papier et numérique
Accédez à tous les articles du site l'Anjou agricole
Ne manquez aucune information grâce à la newsletter d'actualités
L’accès aux dossiers thématiques
Une revue Réussir spécialisée par mois