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Des réserves d'eau à un niveau de fin de saison

Faute de pluies suffisantes cet hiver, les réserves servant à l’irrigation n’ont pas pu se remplir comme à l’accoutumée et les agriculteurs irrigants doivent s’adapter et gérer la ressource de manière différente. Reportage à Coron (49).

Une réserve remplie à moitié seulement, chez Alain Dixneuf, à Coron (49).
Une réserve remplie à moitié seulement, chez Alain Dixneuf, à Coron (49).
© AA

A Coron, dans le Vihiersois (Maine-et-Loire), sur les 8 derniers mois il est tombé moins de 300 mm de pluie. Et ce ne sont pas les quelque 10 mm, tout de même appréciables, du dernier week-end d’avril qui vont rattraper le retard pris dans le rechargement des réserves d’eau de l’exploitation d’Alain Dixneuf. Sur ses 170 ha de SAU (cultures de ventes et pâtures), 95 ha sont irrigables et l’irrigation constitue pour l'agriculteur une véritable « assurance récolte ». Il dispose de 5 réserves de différentes dimensions, pour un potentiel total de 60 000 m3 d’eau. Elles se situent dans le bassin versant du Layon (rivière des Bousselières). Cette année, la plus grande, de 20 000 m3, n’est remplie qu’à moitié, et celles qui se remplissent habituellement par les eaux de ruissellement ne sont pas complètes non plus.


Moins de maïs, plus de quinoa
Sachant qu’il devrait gérer la ressource au plus près, il a déjà pris les devants : « j’ai anticipé. Sur la partie irrigable, je n’ai implanté que 11 ha de maïs, contre 20 à 25 ha les autres années », explique l’agriculteur. A la place, il cultive une dizaine d’hectares de quinoa avec la CAPL, une culture « qui accepte mieux le stress hydrique ».

Lire l'intégralité de l'article dans l'Anjou agricole du 5 mai 2017.

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