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Des technologies pour un meilleur confort de travail

Installés il y a 4 ans, les frères Boivin développent l’élevage familial de blondes d’Aquitaine. Restant fidèles aux orientations des parents, ils équipent leur exploitation pour rendre l’élevage plus aisé à vivre.

Jean-Benoît, 29 ans  et Charles-Antoine Boivin, 36 ans, du Gaec des Prés d’Anjou, ont investi dans des détecteurs de vêlage, qu’ils estiment « fiables à 99 % ».
Jean-Benoît, 29 ans et Charles-Antoine Boivin, 36 ans, du Gaec des Prés d’Anjou, ont investi dans des détecteurs de vêlage, qu’ils estiment « fiables à 99 % ».
© AA

Avec 180 vêlages par an, 155 vaches, autour de 450 animaux  présents sur leur élevage naisseur-engraisseur, les frères Boivin sont « au taquet », aussi bien en capacité de logement des animaux qu’en charge de travail. En passant de 120  vêlages à leur installation il y a 4 ans à 180 vêlages aujourd’hui, ils ont cherché des moyens de se simplifier le travail, ce qui les a fait se tourner vers les nouvelles technologies en élevage.

Il y a deux ans et demi, ils ont investi dans un système de détection de vêlages. « La première année, on s’est fait prêter le système par un ami pour pouvoir le tester », raconte Jean-Benoît Boivin, très vite convaincu, comme son frère, de l’intérêt de la technologie.  Le système ? Un capteur est scotché à la queue de la vache, une semaine à un jour avant la date supposée de vêlage. Ce capteur, équipé d’un accéléromètre, enregistre les  mouvements (déplacements, tensions de la queue...) indiquant l’imminence du vêlage...

Lire l'intégralité de l'article dans l'Anjou agricole du 2 février 2018.

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