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Fièvre porcine africaine : les professionnels européens prêts à financer des clôtures

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« Les organisations professionnelles de l’Allemagne, de Belgique, du Danemark, d’Espagne, des Pays-Bas et de la France du secteur porcin se sont accordées sur une position commune concernant la situation de la fièvre porcine africaine (FPA) en Belgique », rapporte un communiqué diffusé le 8 octobre par Inaporc.

« Face à l’absence de vaccin, la pose de clôtures autour de la zone géographique infectée définie par les autorités belges semble la seule solution, à l’instar de ce qu’ont fait les autorités tchèques. La rapidité pour réaliser ces clôtures sera déterminante pour permettre une éradication de la maladie, en empêchant la diffusion du virus et en permettant la gestion des populations de sangliers. Après concertation, nous sommes prêts à contribuer financièrement à la réalisation de cette clôture afin d’appuyer le travail des autorités sanitaires belges. »

Les organisations européennes jugent par ailleurs « indispensable de redéfinir les règles qui régissent les relations commerciales internationales. Il est notamment nécessaire d’intégrer les normes de l’Office international des épizooties (OIE) dans les protocoles sanitaires et notamment de différencier la situation sanitaire des sangliers de la faune sauvage de celle des porcs d’élevage. Enfin, il est urgent d’intégrer pleinement dans ces protocoles la notion de régionalisation qui permettrait de reconnaitre des zones indemnes à l’intérieur des pays et préserverait les échanges internationaux.»

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