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Végétal spécialisé
Former des professionnels qualifiés en végétal

La problématique d’emploi et de transmission s’amplifie.

Des élus de la Région ont visité les serres du CNPH, le 27 mai.
Des élus de la Région ont visité les serres du CNPH, le 27 mai.
© AA

Le Centre de national de promotion horticole, à La Ménitré, forme chaque année 200 adultes et apprentis, dans une dizaine de formations du Cap au bac +2. Un vivier pour les employeurs puisque le secteur du végétal spécialisé pèse plus de 40 000 emplois en Pays de la Loire, dont la moitié en Maine-et-Loire. Le besoin de renouvellement est aussi très important puisque la moitié des entreprises horticoles devraient changer de mains dans les années à venir. Mardi 27 mai, deux élus de la Région, principal financeur de la formation professionnelle, ont visité de centre. Objectif de la rencontre : ajuster l’offre de formation pour la prochaine rentrée. “Il est indispensable de construire des passerelles, dans le parcours de formation, qui permettent d’orienter les personnes vers l’installation”, a insisté Jean-Philippe Magnen, en charge du dossier formation professionnelle au Conseil régional. Outre les centres de formation (CNPH, lycées Le Fresne et Montreuil-Bellay...), les prescripteurs comme Pôle Emploi et les missions locales sont également impliqués dans l’accompagnement des personnes.

Des parcours
plus cohérents

Ce qui manque parfois, c’est de la cohérence dans les parcours. “Les entreprises ont besoin de personnel qualifié. Or souvent les personnes sortent des formations pour aller faire des saisons, tout simplement pour des raisons économiques, poursuit Philippe Magnen. Quand une personne part faire une saison, il faut pouvoir poursuivre l’accompagnement”.
L’insertion professionnelle à la sortie du CNPH est significative : la moitié des stagiaires sont embauchés à la sortie (CDI, CDD de plus de six mois ou installation), et trois quarts sont dans l’emploi six mois après.  “Cette année, nous avons davantage d’installations suite à la formation”, signale  Philippe Caillard, directeur du CNPH.

S.H.


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