Médias
Internet, un outil d’information
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En un an d’existence, le site de L’Anjou agricole
a enregistré plus de 10 000 visites.
Il y a un an de cela, L’Anjou agricole ouvrait son site internet. Quels premiers enseignements peut-on déjà tirer ?
Jean-Marc Lézé : Il est difficile de tirer des enseignements à partir des chiffres après un an seulement d’existence, car nous manquons de recul. Mais la fréquentation se situe dans la moyenne haute comparativement à d’autres sites du même genre. Il semble aussi qu’une tendance se dessine : le site est consulté à la fois par des agriculteurs et des non-agriculteurs et ce, depuis de nombreux
horizons. On peut aussi constater une consultation assez importante de pages à chaque visite. Des sujets ont intéressé plus particulièrement les agriculteurs, comme l’avancée de la fièvre catarrhale.
Vous considérez qu’il est aujourd’hui facile de consulter internet ?
Je me réjouis que le milieu rural puisse accéder rapidement à Internet, mais je dois bien constater, pour l’avoir moi-même expérimenté à plusieurs reprises, que l’ADSL est encore parfois très irrégulier, notamment à distance des bourgs. Cela n’est pas de nature à faciliter la consultation des sites.
En ce qui concerne L’Anjou agricole, l’information va encore se développer via Internet ?
Le support papier n’est pas, à ce stade, remis en cause. L’Anjou agricole continuera à parvenir chaque vendredi chez ses abonnés. L’intérêt d’un site web, c’est aussi la rapidité de l’information. Si l’on reprend l’exemple de la FCO, la réactivité du journal, du site et du GDS ont permis aux agriculteurs d’être informés quasiment à l’instant T. C’est une performance que nous voulons maintenir.
Jean-Marc Lézé : Il est difficile de tirer des enseignements à partir des chiffres après un an seulement d’existence, car nous manquons de recul. Mais la fréquentation se situe dans la moyenne haute comparativement à d’autres sites du même genre. Il semble aussi qu’une tendance se dessine : le site est consulté à la fois par des agriculteurs et des non-agriculteurs et ce, depuis de nombreux
horizons. On peut aussi constater une consultation assez importante de pages à chaque visite. Des sujets ont intéressé plus particulièrement les agriculteurs, comme l’avancée de la fièvre catarrhale.
Vous considérez qu’il est aujourd’hui facile de consulter internet ?
Je me réjouis que le milieu rural puisse accéder rapidement à Internet, mais je dois bien constater, pour l’avoir moi-même expérimenté à plusieurs reprises, que l’ADSL est encore parfois très irrégulier, notamment à distance des bourgs. Cela n’est pas de nature à faciliter la consultation des sites.
En ce qui concerne L’Anjou agricole, l’information va encore se développer via Internet ?
Le support papier n’est pas, à ce stade, remis en cause. L’Anjou agricole continuera à parvenir chaque vendredi chez ses abonnés. L’intérêt d’un site web, c’est aussi la rapidité de l’information. Si l’on reprend l’exemple de la FCO, la réactivité du journal, du site et du GDS ont permis aux agriculteurs d’être informés quasiment à l’instant T. C’est une performance que nous voulons maintenir.
Propos recueillis
par Martine Leroy-Rambaud
par Martine Leroy-Rambaud