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La betterave, une alternative économique et technique

La semaine dernière au Fuilet a eu lieu la récolte de la betterave fourragère, aliment de diversification que Mickaël Drouet n’est pas prêt de retirer à ses vaches normandes.

La machine large de 3 mètres arrache 6 rangs. 4 heures suffisent à récolter 2 hectares. « Sa longueur rend les demi-tours chronophages », indique l’éleveur. La parcelle libérée, il y sèmera du blé dès le lendemain.
La machine large de 3 mètres arrache 6 rangs. 4 heures suffisent à récolter 2 hectares. « Sa longueur rend les demi-tours chronophages », indique l’éleveur. La parcelle libérée, il y sèmera du blé dès le lendemain.
© AA

« Seulement 3 désherbages ont suffi cette année pour obtenir une parcelle impeccable », raconte Mickaël Drouet, éleveur au Fuilet au sujet de la betterave fourragère qu’il cultive sur 2 hectares. La pluie du mois de juin lui a épargné le dernier passage d’herbicide dans cette plante non couvrante. « La réussite de la culture dépend de la qualité du désherbage autant que de celle du semis », assure l’éleveur. Les bennes qui arrivent de la parcelle adjacente au corps de ferme, mercredi 12 octobre, étoffent un tas de betteraves déjà bien haut, annonçant les 40 tonnes de matière sèche que l’EARL des Acacias escompte pour l’alimentation hivernale des vaches normandes. La betterave est connue du secteur de Landemont - « il y en a de cultivée dans une commune sur 2 », estime Mickaël Drouet. Semis et chantier d’arrachage sont effectués par l’ETA Lhommeau (Clisson), présente de la
Vendée à la Mayenne, apportant la mécanisation indispensable à l’EARL des Acacias, qui n’aurait pas initié cette culture s’il avait fallu investir dans du matériel.


Mieux valoriser la surface fourragère
« Insérer de la betterave dans mon assolement a permis de libérer des surfaces pour la vente, que j’ai destinées au blé », mentionne Mickaël Drouet.

 

 

Lire l'intégralité de l'article dans l'Anjou agricole du 21 octobre 2016.

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