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La FDSEA49 pose le débat des perspectives commerciales.

La FDSEA49 a tenu son congrès annuel ce mardi 2 février à Saint-Georges-sur-Loire, en présence notamment de transformateurs et de distributeurs.

A la tribune.
A la tribune.
© AA

Excès de normes, carte des cours d'eau, SNA (surfaces non agricoles), zèle de contrôleurs, etc. Le Congrès annuel de la FDSEA a été une nouvelle fois l'occasion d'exprimer auprès de l'administration locale le ras-le-bol ressenti dans les campagnes, alors que les représentants nationaux de la FNSEA et JA rencontraient ce jour même le Président de la République.

 

A travers le tour des petites régions du département, les responsables cantonaux ont fait part (parfois de manière comique) des contraintes qui ont effectivement entravé les exploitations angevines en 2015.

Dans la salle, mais également invitée à participer à une table ronde sur le thème "produire, pour quels marchés, et à quels prix ?", la grande distribution. En présence de Philippe Leseur (directeur filière lait de LSDH), Christophe Thibault (président de Fleuron d'Anjou) et Didier Nédélec (ODA), le représentant de Carrefour Philippe Bernard a présenté quelques exemples de modèles de valorisation des produits français dans les gondoles de l'enseigne.

Pour Henri Brichart, 2nd vice président de la FNSEA et invité d'honneur pour ce congrès, ces réflexions donnent suite aux tables-rondes du second semestre 2015 qui n'ont pas été complétement à la hauteur des espérances de la profession. "Il faut nous inscrire collectivement dans une démarche constructive pour le maintien de nos filières. Plutôt que la mentalité de l'offre, nous devons nous mettre à produire pour répondre à la demande alimentaire selon ce que le consommateur attend. Il nous faut sans doute nous impliquer plus à l'aval, là où se fait la valeur à capter", conclut-il en insistant notamment sur le rôle des coopératives.

Plus d'informations dans le journal l'Anjou agricole du 5 février.

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