Aller au contenu principal

Bovins viande
La FNSEA lance un mot d'ordre de mobilisation sur les prix de la viande

Par la voix de Christiane Lambert, vice-présidente, la FNSEA a lancé le 11 février un mot d'ordre de mobilisation du syndicat pour que des actions sur le terrain poussent à la hausse des prix de la viande en grandes surfaces. Le syndicat souhaite aussi rappeler aux industriels et distributeurs leur obligation d'indiquer l'origine de la viande pour mettre en avant la production française. Des actions sont prévues auprès des grandes et moyennes surfaces (GMS) ainsi qu'auprès des grossistes qui livrent les collectivités (cantines,…). « Quand le pétrole augmente, le carburant augmente à la pompe. Et personne ne trouve cela anormal », fait valoir Christiane Lambert. « Quand les charges des agriculteurs augmentent, il faut pouvoir passer les hausses », selon elle. Des manifestations ont déjà eu lieu dès le 12 février auprès de plusieurs grandes surfaces et devraient se poursuivre durant la semaine du 14. Elles auront lieu à quelques jours de l'ouverture du salon de l'agriculture qui sera inauguré le 19 février par le président de la république, comme l'indique l'agenda de l'Élysée.

Le Sniv-SNCP met en place un tableau de suivi du logo VPF

Le syndicat des industriels de la viande et du commerce du porc a annoncé le 11 février qu'il allait mettre en place un tableau de bord de la mise en place en grande distribution du logo VPF, Viande Porcine Française. L'objectif est de mesurer l'application de l'accord qui avait conduit à la mise en place de cette certification d'origine pour les viandes et les produits de charcuterie, notamment le jambon. Pour le SNIV-SNCP, le logo VPF (viande porcine française) « doit devenir la marque et l'expression de l'origine France ». Pour cela, le syndicat a saisi l'Inaporc d'une demande de simplification du cahier des charges de la marque VPF afin qu'il ne réponde qu'aux seuls critères : « né, élevé, abattu et découpé en France ». L'initiative du Sniv-SNCP vient de la constatation d'un retard constaté sur les étals de la mise en place du logo.
Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout l'Anjou Agricole.

Les plus lus

Les asperges blanches représentent 80% de la consommation mais 95% de la production française.
Fleuron d'Anjou recherche des producteurs d'asperges
La coopérative Fleuron d'Anjou veut développer la production d'asperges, visant un volume de 1 000 T à 5 ans. Elle recherche des…
Encore trop d'eau pour les semis

Les mauvaises conditions d'implantation des céréales d'automne ont induit un basculement des surfaces vers des variétés de…

Entre 12 et 15 cm de hauteur d'herbe chez Jonathan Bertrand. Sorties 10 jours fin mars, ses vaches sont à nouveau consignées à l'intérieur, faute de portance.
Mise à l'herbe : de timides débuts

Limités jusqu'ici par la portance des sols, certains éleveurs se sont décidés à mettre à l'herbe des animaux, avec parfois des…

Laurent Martin contrôle la production de ses panneaux sur son téléphone. L'optimiseur des onduleurs permet de superviser les modules (température, production, ampérage) et sécurise l'installation.
Une stabulation pour les vaches grâce au photovoltaïque
Éleveur de charolaises à Lys-Haut-Layon, Laurent Martin a financé la construction d'une stabulation pour son troupeau allaitant…
Les agriculteurs dénoncent les promesses du gouvernement non tenues, le manque de solutions à court terme pour leurs trésoreries en difficultés mais aussi de solutions à long terme pour éviter que ce scénario ne se répète à chaque début de programmation.
Promesses non tenues et manque de solutions concrètes 

Le 20 mars 2024, les représentants FRSEA et JA des commissions agriculture biologique et environnement ont rencontré la DRAAF…

Guillaume Aubert élève un troupeau de 65 vaches montbéliardes. Il est associé avec ses parents et son frère au sein du Gaec des Alezanes.
Autonome pour l'insémination de son troupeau laitier

Éleveur au Louroux-Béconnais, Guillaume Aubert a suivi une formation à l'insémination avec Innoval. Depuis, il a vu les…

Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 176€/an
Liste à puce
Consulter l'édition du journal l'Anjou agricole au format papier et numérique
Accédez à tous les articles du site l'Anjou agricole
Ne manquez aucune information grâce à la newsletter d'actualités
L’accès aux dossiers thématiques
Une revue Réussir spécialisée par mois