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A l’affût des nouvelles technologies

Au Tremblay, la Cuma des éleveurs s’équipe dans des matériels qui améliorent l’efficacité des chantiers, répondant aux besoins croissants des adhérents en prestations complètes.

Pierre-Antoine Hoinard, responsable d’atelier, aux commandes du tracteur de 270 ch équipé de l’autoguidage et du télégonflage. à partir d’août, la technologie RTK y sera installée, offrant une précision de l’ordre du centimètre.
Pierre-Antoine Hoinard, responsable d’atelier, aux commandes du tracteur de 270 ch équipé de l’autoguidage et du télégonflage. à partir d’août, la technologie RTK y sera installée, offrant une précision de l’ordre du centimètre.
© AA

Gagner du temps sur les chantiers, améliorer le confort des  salariés, proposer des travaux à des coûts très compétitifs aux adhérents : la Cuma des éleveurs s’intéresse de près, depuis plusieurs années, aux nouvelles technologies et y voit de nombreux avantages.
Aujourd’hui, les trois tracteurs de la Cuma (130, 250 et 270 ch) sont équipés en autoguidage. « Cela offre un confort de travail et une précision qui génère des économies. On ne fait plus de doublons », souligne Bertrand Delanoë, président de la Cuma. Une évolution technologique qui est allée de pair avec un élargissement continu des largeurs de travail : pour le semis en plein des cultures d’hiver, la Cuma est équipée depuis deux ans d’un semoir et d’une herse
6 mètres. Cela permet de couvrir des hectares plus aisément :  « nous avons 400 ha à semer en automne, et environ 600 ha à passer à la herse au printemps », illustre le responsable de Cuma. Quand ce travail est assuré par les salariés, « le coût de main-d’œuvre à l’hectare tombe jusqu’à 5 à 6 euros. Du coup, un certain nombre d’adhérents délèguent les semis ».

Autoguidage de plus en plus précis
Pour l’instant, les équipements d’auto-guidage permettent une précision de l’ordre de 10 cm et dès le mois d’août, la technologie RTK sera installée sur le 270 ch, offrant une précision de 1 cm, et pourra être utilisée pour le déchaumage et les semis de blé. Ces technologies ont un coût : autour de 10 000 euros pour une précision de 10 à 15 cm, et 10 000 euros supplémentaires pour une précision centimétrique.

Retrouvez l'intégralité de l'article dans l'Anjou agricole du 20 mai.

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