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Communication
L’Anjou affiche ses produits et ses savoir-faire au Salon de l’agriculture

Pour la troisième année consécutive, le stand du Conseil général aura sa place à Paris. Action conduite avec la Chambre d’agriculture et le Comité du tourisme.

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Des fleurs, du vin, des crêpes au quinoa, des animations et des dégustations non-stop… Du 25 février au 4 mars, les produits et les savoir-faire de Maine-et-Loire vont à nouveau être mis en valeur au Salon de l’agriculture à Paris, sur un stand de 100 m2. Une formidable vitrine pour l’agriculture, le patrimoine et le tourisme du département : au moins 13 000 visiteurs y ont fait halte l’année passée. Le Conseil général avait lancé cette opération en 2010, année de l’ouverture du Parc Terra Botanica, pour combler le déficit de notoriété de l’Anjou et pour soutenir son agriculture. “L’objectif était d’être présent sur le salon pendant trois ans”, rappelle Michel Mignard, conseiller général en charge du développement économique. Le Département a investi pour cela dans un stand de 150 000 euros, qui sert également pour d’autres manifestations. En 2011, le budget de la présence au salon s’élevait à 134 000 euros, et le budget prévisionnel 2012 est de 150 000 euros (dont 35 000 euros de location d’espace). “Le bilan des deux premières années est  très positif, surtout en 2011 où nous étions très bien placés”, explique l’élu. Pour 2013, il n’y aura pas de présence de l’Anjou au Salon de l’agriculture, “pour des questions budgétaires et d’organisation”, expliquent Michel Mignard et Dominique Monnier. Le Sia doit en effet déménager à
Villepinte. “On s’achemine sans doute, à l’avenir, vers une participation tous les deux ans”.

Produit en Anjou, une marque née du Sia

Pour certaines filières, la présence à Paris a eu des retombées inespérées. L’entreprise Froger, spécialisée dans la fleur coupée, y a lancé son siteinternet de vente en ligne www.lilasroseboutique.com/, au succès grandissant. De là est née la marque Produit en Anjou, lancée à l’automne dernier par le Conseil général et la profession horticole. Signe de reconnaissance, cette marque devrait venir, à terme, distinguer des produits agricoles et des produits manufacturés. Un commercial vient d’être embauché au Conseil général pour développer la marque qui intéresse déjà des professionnels comme les rosiéristes de Doué-la-Fontaine. Autre retombée concrète : les producteurs de rouge des prés qui ont signé un contrat avec Intermarché à l’issue du Sia. D’une manière générale, les agriculteurs qui ont participé à l’opération sont unanimes : “Tous ceux qui font le déplacement sur le stand souhaitent y retourner l’année suivante. C’est qu’ils y ont trouvé un intérêt”, souligne Jean-François Cesbron, le président de la Chambre d’agriculture.

L’oie d’Anjou, Indication géographique protégée

Cette année encore, 15 à 20 filières agricoles seront représentées, par une cinquantaine de producteurs et viticulteurs. Au chapitre des nouveautés, l’oie d’Anjou sera mise en valeur par le chef cuisinier Philippe Trouillard, de la ferme auberge du Plessis- Grammoire.  L’oie d’Anjou a obtenu récemment l’Indication géographique protégée et une quinzaine d’éleveurs se relayeront au salon pour faire connaître cette volaille d’exception. IDfel Val de Loire proposera des dégustations de légumes du Val de Loire et, pour la première fois aussi, les artisans-bouchers seront sur place. 
La production de quinoa, dont le Maine-et-Loire est leader européen, sera aussi présente à travers les animations proposées par le Moulin de Sarré. Cette meunerie de Gennes développe les farines sans gluten. Au salon, petits et grands pourront s’essayer à tamiser la farine de quinoa avec un blutoir. Le quinoa sera décliné en crêpes, blinis, muffins, ou encore taboulé. À déguster le mardi 28 février, journée de l’Anjou au salon de l’Agriculture.

S.H.
Le stand l’Avenir pousse en Anjou est situé dans le hall des Régions de France, hall 7.2, stand J46, à côté d’autres stands angevins.
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