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Eau
Le député Philippe Martin en Maine-et-Loire le 16 avril

La question du stockage de l’eau sera abordée, lors de visites dans les Mauges.

La rencontre sera l’occasion d’aborder les questions de création de réserves et de mettre en évidence les freins au stockage de l’eau.
La rencontre sera l’occasion d’aborder les questions de création de réserves et de mettre en évidence les freins au stockage de l’eau.
© Archives AA
Le député Philippe Martin (PS, Gers) a été mandaté en janvier dernier par le Premier ministre Jean-Marc Ayrault, pour mener une mission portant sur la gestion quantitative de l’eau en agriculture. Dans le cadre de sa mission, le député, en plus des réunions de concertation organisées à l’Assemblée nationale, procède à des auditions individuelles et des visites de terrain. La FDSEA 49 a demandé à ce que le député vienne en Maine-et-Loire. Ce dernier se déplacera dans le département le 16 avril après-midi.  Une délégation constituée de responsables professionnels de la FDSEA 49 ainsi que de la Chambre départementale recevra le parlementaire. Une délégation de la Sarthe sera également présente.

Sécurisation des systèmes fourragers
Afin d’illustrer les propos, un déplacement dans la région des Mauges est prévu, et la délégation devrait se déplacer sur deux sites. L’objectif de cet après-midi sera de mettre en évidence les spécificités du territoire vis-à-vis de la ressource en eau. Il s’agira également de démontrer l’importance de l’irrigation et de faire le lien avec les aspects de développement social, environnemental et économique, en insistant notamment sur l’intérêt de l’irrigation dans la sécurisation des systèmes fourragers et des rendements. Ce sera également l’occasion d’aborder les questions de création de réserves et de mettre en évidence les freins au stockage de l’eau. Philippe Martin a indiqué, lors de sa première intervention, en janvier 2012, qu’il souhaitait “répondre aux attentes des agriculteurs” et “à la protection de l’environnement”. Selon le député du Gers, il s’agit de sécuriser la filière, “ce qui n’a rien à voir avec une intensification de l’agriculture”. Par ailleurs, il a indiqué que sa mission devait être centrée sur les aspects techniques et financiers difficiles.   
Manon Gosset
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