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Le maïs ensilage victime de la sécheresse

La sécheresse a avancé de trois semaines les travaux d’ensilage en Maine-et-Loire. Reportage à Brigné.

Pendant que les remorques de maïs sont vidées dans le silo, un des agriculteurs s’occupe de bien le tasser pour une meilleure conservation.
Pendant que les remorques de maïs sont vidées dans le silo, un des agriculteurs s’occupe de bien le tasser pour une meilleure conservation.
© AA

« Catastrophiques. » Les rendements des ensilages de maïs de l’exploitation de Bertrand Morin, à Brigné, sont loin d’être à la hauteur, cette année. A priori, ils avoisineront les 7 à 8 t MS/hectare. « En temps normal, il faut davantage compter 12 t de matière sèche », explique Bertrand Morin, lors de son chantier d’ensilage, mardi 25 août. Pour un coût de 120 à 140 euros par hectare, les travaux sont réalisés par l’ETA de Philippe Horreau « par souci d’économie de temps. » Sur ses 100 hectares de surface, l’éleveur lait et viande installé en individuel cultive 25 hectares de maïs non irrigués. Il a semé le 5 avril.  «  Déjà le maïs avait eu du mal à démarrer », remarque l’agriculteur. En cause : « les 100 mm d’eau début mai et le manque de chaleur pour la levée ». Le coup de grâce ? Les chaleurs de cet été. «  Le maïs a subi un gros stress hydrique. » Résultat : des grains qui ne sont pas arrivés à maturité et un feuillage très sec.

Lire l'intégralité de l'article dans l'Anjou agricole du 28 août.

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