Aller au contenu principal

Viticulture
Les vins de Loire gardent toujours une belle place en restauration

Le 24e Salon des vins de Loire se tiendra au Parc Expo d’ Angers du 1er au 3 février prochain. Les résultats d’une étude sur les vins en restauration y feront l’objet d’une conférence.

Les vins de Loire confirment leur deuxième place en restauration, derrière ceux du Bordelais.
Les vins de Loire confirment leur deuxième place en restauration, derrière ceux du Bordelais.
© AA

Avant d’ouvrir sa 24e édition, les organisateurs du Salon des vins de Loire ont voulu savoir quelle place et quelle image ont ces vins auprès de la restauration. Une étude a été confiée à Opinion Way, dans le contexte de la baisse de la TVA. Cette mesure, qui ne porte pourtant pas sur les boissons alcoolisées, a amené selon l’étude un restaurateur sur six à baisser le prix de ses vins. L’étude confirme la « très belle représentation des vins de Loire en restauration, tant en volume qu’en valeur ». 60 % des professionnels interrogés déclarent proposer des AOC du Val de Loire à leur carte. La proportion monte à 90 % chez les restaurateurs haut de gamme. En volume comme en valeur, les vins du Val de Loire se placent juste derrière Bordeaux et devant les vins du Languedoc et de la Vallée du Rhône. Les vins de Loire sont même numéro un du marché dans les établissements ayant un ticket moyen entre 20 et 29 euros.
Pourquoi ces vins séduisent-ils tant les restaurateurs ? Ce sont ceux qui s’associent le plus facilement à de nombreux de plats ou de nombreux types de cuisines. Ils remportent aussi la palme du meilleur rapport qualité-prix auprès des professionnels. Enfin, ils semblent le mieux correspondre à une cible de clients jeunes. Au sommet des appellations les plus connues des restaurateurs figure le sancerre, suivi de près par le saumur, le bourgueil, le chinon. L’Anjou se place en 7e position. Partant des résultats de cette étude, les interprofessions ligériennes s’apprêtent à lancer un plan d’action 2010 sur le circuit CHR (cafés hôtels restaurants), avec notamment l’animation de 3 000 restaurants en juin pour le muscadet et tout au long de l’été pour les rosés, ainsi que des actions spécifiques par AOC.
Cette étude fera l’objet d’une présentation détaillée le mardi 2 février, à 11 h, salle Maine.

S.H.
Programme complet sur le net :
www.salondesvinsdeloire.com

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout l'Anjou Agricole.

Les plus lus

Les partenaires du projet Vitivolt : Xavier Besson (LDDV), James Ronsin-Coumel (Altarea énergies renouvelables), Bertrand Pinel, chef de projet Vitivolt (Terrena Innovation), David Grellier (domaine Château la Varière), Jean-Philippe Priarollo (Terrena Energies).
Un démonstrateur agrivoltaïque unique en Val de Loire 
Pionnière dans le Val de Loire, une centrale agrivoltaïque expérimentale est installée depuis ce printemps au domaine Château la…
Le lavage mécanique des serres Avec le blanchiment et le déblanchiment, Traita Service s'est spécialisé dans cette activité qui contribue à maintenir les équipements en bon état.
Traita rayonne dans
toute la France
Implantée à Noyant-Villages (Auverse), l'entreprise Traita et ses deux filiales, Traita Service et Traita Agro, intervient pour…
Félicitations !

Valentin Beaumard est l'heureux gagnant du jeu concours organisé par l'Anjou Agricole au Festi'élevage 2025 et remporte 1 an d…

Le sol sableux irrigué facilite le travail du sol sur la station qui emploie 20 permanents.
à brion, le geves évalue
les semences
L'unité expérimentale du Geves (Groupe d'étude et de contrôle des variétés et des semences), aux Bois d'Anjou (Brion) est…
L'unité de méthanisation fonctionne depuis 2018 sur l'exploitation du Gaec de la petite Ferronnière, à Briollay.
Quel avenir pour la cogénération ?
Engagés depuis quelques années dans la méthanisation à la ferme, des agriculteurs du Maine-et-Loire questionnent aujourd'hui la…
Dans la parcelle, le trèfle, semé à une densité de 13 kg/ha, coexiste avec des repousses de colza, lors de l'implantation du blé, lundi 27 octobre à Miré.
À Miré, un blé semé sous les trèfles
Adepte de l'agriculture de conservation des sols, Emmanuel Landeau pratique le semis de blé sous couvert de trèfle. Il en…
Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 176€/an
Liste à puce
Consulter l'édition du journal l'Anjou agricole au format papier et numérique
Accédez à tous les articles du site l'Anjou agricole
Ne manquez aucune information grâce à la newsletter d'actualités
L’accès aux dossiers thématiques
Une revue Réussir spécialisée par mois