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L’ésa, toujours en mouvement

L’Ecole supérieure d’agricultures d’Angers va ouvrir l’an prochain un nouveau diplôme en “Agroécologie des systèmes alimentaires”, pour renforcer son ouverture à l’international.

René Siret, directeur de l’ésa, en compagnie d’Amélie Gos (à g.), étudiante en 4ème année de cursus ingénieur en productions animales, et de  Noélline Rasoamandrary, ancienne élève de l’école et créatrice de la start-up Vanilla Bridge, hébergée dans l’incubateur ésa, lors de la conférence de rentrée de l’établissement, vendredi 13 septembre.
René Siret, directeur de l’ésa, en compagnie d’Amélie Gos (à g.), étudiante en 4ème année de cursus ingénieur en productions animales, et de Noélline Rasoamandrary, ancienne élève de l’école et créatrice de la start-up Vanilla Bridge, hébergée dans l’incubateur ésa, lors de la conférence de rentrée de l’établissement, vendredi 13 septembre.
© AA

« Nous travaillons toujours sur de nouveaux diplômes, à la fois en réponse aux grands enjeux de l’agriculture comme les transitions agroécologique et énergétique, mais aussi dans la perspective d’internationaliser nos formations », souligne René Siret, directeur général de l’école supérieure d’agricultures d’Angers (ésa). à l’occasion de sa conférence de rentrée, vendredi 13 septembre, l’établissement a ainsi annoncé l’ouverture, en 2020, de la 3ème année de son “Bachelor Agroécologie des systèmes alimentaires”.

Après un Bac +2, par exemple un BTSA, ce diplôme en forme de « passerelle » permettra de préparer l’étudiant à une poursuite d’études en master ou école d’ingénieur. Le cursus s’articulera en 3 temps. Avec d’abord un semestre à Angers, au cours duquel les étudiants conduiront un projet thématique au choix, en groupe, en mobilisant un socle de compétences techniques et ressources pédagogiques (enseignants-chercheurs, bibliographie, e-learning, etc.). Au terme de cette 1ère phase, les élèves devront produire et présenter un “rapport de mission”. Ensuite, ils partiront en séjour d’étude aux Pays-Bas pendant 2 à 3 mois, sur les bancs de l’Université des sciences appliquées d’Aeres. Le bachelor s’achèvera par un stage de 2 à 3 mois en entreprise, en recherche & innovation. L’autre objectif de cette formation, selon l’école, c’est le perfectionnement des jeunes en langue(s), traitement de données et management de projet.

Consacrant cette dynamique d’internationalisation, l’école vient de se voir attribuer le label européen Erasmus Mundus pour son master “Identité alimentaire”. « C’est pour nous une marque d’excellence, et une reconnaissance de la qualité de notre enseignement », apprécie René Siret. Ainsi qu’une source de financement supplémentaire, en particulier pour les bourses et la mobilité des étudiants : 2,8 millions d’euros sur 4 ans.

 

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