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Moins de travail du sol, des sols enrichis et un coût fourrager très bas

Nico Bouma a expliqué sa démarche lors de la journée technique du 6 février, organisée par le syndicat du bassin de l’Oudon sur le thème : “comment réduire les charges de main-d’œuvre, de mécanisation, d’engrais et de produits phytosanitaires ?”.
Nico Bouma a expliqué sa démarche lors de la journée technique du 6 février, organisée par le syndicat du bassin de l’Oudon sur le thème : “comment réduire les charges de main-d’œuvre, de mécanisation, d’engrais et de produits phytosanitaires ?”.
© AA

Une démarche globale pour gagner sur tous les tableaux, dans cette exploitation du bassin versant de l’Oudon : réduire les coûts alimentaires, enrichir les sols et réduire l’utilisation d’intrants. Installé en 2006  après un tiers à Chazé-Henry (88 ha, 313 000 l. de lait à l’installation, 425 000 l. aujourd’hui), Nico Bouma a modifié en profondeur le système fourrager. Son objectif  : gagner en autonomie et baisser de manière significative le coût fourrager.


En moyenne sur le département, le coût alimentaire des éleveurs laitiers se situe à 125 euros/1 000 l. C’est beaucoup moins chez lui. « Je me suis fixé 80 euros/ 1 000 litres, objectif dépassé », explique Nico Bouma, dont les coûts alimentaires sont descendus autour de 60 euros/1 000 l. Et même si la productivité laitière a baissé, il s’y retrouve  : « c’est cela qui me fait vivre aujourd’hui ». Comment fait-il ? Quelles sont ses motivations ?

Lire l'intégralité de l'article dans l'Anjou agricole du 9 février 2018.


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