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Mutualiser les tracteurs, réduire les charges

La Cuma Romaine à La Romagne est menée par un groupe tracteur organisé et attentif aux avancées technologiques.

Le groupe tracteur de la Cuma Romaine a investi 220 000 euros cette année pour deux tracteurs, une charrue et une remorque.
Le groupe tracteur de la Cuma Romaine a investi 220 000 euros cette année pour deux tracteurs, une charrue et une remorque.
© AA

"Nous avons toujours eu un groupe tracteur performant qui a porté la Cuma". Pour Claude Martin, ancien président de la Cuma de La Romagne qui a connu sa création en 1992 : "enlever la traction des fermes était la volonté de départ". Dès l'origine du rassemblement, les cinq exploitations fondatrices ont ainsi investi dans deux tracteurs mutualisés. "En parallèle, nous avons supprimé trois tracteurs chez trois exploitants, se rappelle Philippe Levron, responsable du groupe. Il fallait absolument éviter les doublons pour que ça marche et permettre des économies de charges. C'est encore plus le cas actuellement". Car aujourd'hui, comme le résume Eric Canteneur, animateur machinisme Union des Cuma Vendée : "la traction peut représenter facilement 30 % des charges de mécanisation". Le diagnostic mené par l'union des Cuma des Pays-de-la-Loire et la Fédération des Cumas de la Mayenne précise même que "si l'on ajoute le carburant, on atteint près de 50%. Il s'agit là de postes sur lesquels il est nécessaire de travailler en priorité." À La Romagne, cette volonté a donc été gardée jusqu'en 2015 par les 13 exploitations du groupe tracteur (10 en 2013) qui forment le noyau dur de la Cuma Romaine qui embauche également un salarié.

Lire l'intégralité de l'article dans l'Anjou agricole du 7 août 2015.

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