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Viande bovine
Objectif 10 % d’abattages en plus au site élivia du Lion-d’Angers

Des éleveurs invités à découvrir les installations et à s’informer sur les possiblités de contractualisation

Renforcer les liens entre l’amont et l’aval de la filière est le but de la visite.
Renforcer les liens entre l’amont et l’aval de la filière est le but de la visite.
© Terrena

 

Une cinquantaine d’éleveurs a été invité sur le site d’abattage et de transformation d’élivia, la filiale viande rouge de Terrena, au Lion-d’Angers, le 7 octobre. L’objet de cette rencontre, “renforcer le lien entre nos éleveurs et élivia, explique Arnaud Grosset, directeur du site. L’abattoir a été reconstruit il y a cinq ans, avec “une approche forte du sanitaire et de la sécurité alimentaire”, rappelle-t-il. C’est dans cette optique que les éleveurs sont par exemple sensibilisés à la propreté des cuirs.

La visite a permis de faire découvrir les installations aux éleveurs, mais également de leur présenter le travail mené avec l’union de coopératives Ter’élevage sur la contractualisation. “Un  plan de 3,5 millions d’euros a été lancé , rapelle Christophe Godet, président de Ter’élevage. C’est un investissement pour encourager à produire les animaux dont la filière a besoin”. Sur l’année en cours, 28 000 animaux ont été mis en marché dans le cadre d’une contractualisation avec Ter’élevage, ce qui représente 37 % des apports à élivia. L’ambition est d’atteindre 57 000 animaux “sous contrat” en 2020. La contractualisation est un atout sur le plan de l’organisation, permettant de “mettre la bonne matière au bon endroit, au bon moment”, résume Arnaud Grosset.

élivia compte aussi s’appuyer sur la contractualisation, gage de “sécurisation du revenu” pour les éleveurs, mais aussi sur l’appui technique, pour attirer de nouveaux producteurs. Car l’ambition est d’accroître la production de 10 % d’ici 2017. Le site passerait de
2 350 à 2 600 animaux abattus/semaine, avec à la clé, “la création d’une cinquantaine d’emplois”, précise le directeur du site.

 

S.H.
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