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Oser s’installer et investir en porc

Le Comité régional porcin (CRP) a organisé une journée d’information et d’échanges à destination des éleveurs et des jeunes en formation, mardi 13 février à Saint-Jean-de-Linières (49). Témoignages et perspectives.

Ludovic Posnic et Alexandre Bourge, deux éleveurs tout aussi passionnés. Le premier s’est installé après un tiers, le second est en Gaec avec ses frères et un tiers. « Ce n’est pas parce qu’il y a des liens familiaux que c’est plus facile », souligne Alexandre Bourge.
Ludovic Posnic et Alexandre Bourge, deux éleveurs tout aussi passionnés. Le premier s’est installé après un tiers, le second est en Gaec avec ses frères et un tiers. « Ce n’est pas parce qu’il y a des liens familiaux que c’est plus facile », souligne Alexandre Bourge.
© AA

« Renouvellement des générations, installation, modernisation, diversification... Les défis sont nombreux à relever pour la filière porcine des Pays-de-la-Loire », a résumé Gérard Bourcier, président du CRP, lors de la journée du 13 février, suivie par de nombreux éleveurs et lycéens. Pour dresser un panorama de la production régionale, et pourquoi pas déclencher des vocations, des éleveurs sont venus témoigner. Ils ont montré combien la technicité, l’assise financière et foncière mais aussi l’ouverture d’esprit, les qualités humaines et la ténacité sont nécessaires pour mener à bien un projet.

Après 12 années de salariat comme conseiller en élevage, Ludovic Posnic s’est installé à Melay, avec 280 truies naisseur-engraisseur sur 36 ha au départ, (105 ha aujourd’hui). Clés de sa réussite : outre la technicité, c’est l’entente avec les cédants, - « il faut se dire toutes les choses, bien étudier le dossier »-, la reprise du salarié, et un fort lien au sol, qui ont facilité les choses.

« L’arrivée d’un associé est un moteur »

Autre cas, Alexandre Bourge, installé à Saint-Gervais-en-Belin  (72)  au sein d’une exploitation familiale. Pour mettre tous les atouts de son côté, le Gaec a décidé de réaliser un audit relationnel ainsi qu’une réévalution de la valeur de l’outil de production à chaque mouvement au sein du Gaec (4 associés, 1 salarié). « Pour moi, témoigne Alexandre  Bourge, l’arrivée d’un associé est un moteur, qui nous fait entrer à chaque fois dans une nouvelle dynamique de projet », apprécie-t-il.

Un arrêt forcé, suivi d’une conversion bio

Comment faire évoluer son élevage, dans un contexte sociétal parfois très hostile à la production porcine ? Franck Bluteau, installé sur une commune touristique du littoral vendéen,  a vécu un « arrêt forcé de la production porcine » en 2010, devant l’opposition à la production porcine d’associations...

Lire l'intégralité de l'article dans l'Anjou agricole du 16 février 2018.


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