Aller au contenu principal

Partenariat
Plus de produits agricoles locaux dans la restauration collective

L’association des maires de Maine-et-Loire et la Chambre d’agriculture ont signé une convention.

Jean-Luc Davy (Association des maires) et Jean-François Cesbron (Chambre d’agriculture). 
La démarche s’inscrit dans le cadre du Grenelle de l’environnement et dans le droit fil du Projet agricole départemental.
Jean-Luc Davy (Association des maires) et Jean-François Cesbron (Chambre d’agriculture).
La démarche s’inscrit dans le cadre du Grenelle de l’environnement et dans le droit fil du Projet agricole départemental.
© AA

Jeudi 7 janvier, à Angers, une convention a été signée entre la Chambre d’agriculture et l’association des maires. Objectif : le développement de l’approvisionnement en produits locaux au sein de la restauration collective primaire. Ces deux organismes ont lancé depuis plusieurs mois un partenariat en ce sens. Cette démarche s’inscrit à la fois dans le cadre du Grenelle de l’environnement mais également du Projet agricole départemental (PAD). Il s’agit, à travers cette convention, de structurer une offre de produits locaux et de permettre aux gestionnaires de mettre en œuvre les moyens et les outils d’aide à la décision. Il faut rappeler que le Grenelle de l’environnement préconise le recours à des produits bio en
restauration collective (20 % à l’échéance 2012) ou/et de produits saisonniers à faibles impacts environnementaux. Une enquête auprès des 363 communes de Maine-et-Loire a été menée pour dresser un état des lieux de la restauration collective et connaître les pratiques ac-tuelles en matière de d’approvisionnement, connaître leurs souhaits d’évolution. 63 % des communes ont répondu à l’enquête. Il en ressort notamment que 25 % des communes avec cantines autogérées s’approvisionnement régulièrement auprès d’agriculteurs locaux. Et lors-qu’on leur demande si elles souhaitent développer un approvisionnement local et bio, les communes répondent oui à 63 % pour le “local”, oui à 67 % pour le “bio”.
L’association des maires et la Chambre d’agriculture poursuivent à présent leurs travaux par l’analyse de situations de communes de référence, représentatives des différents cas de figures révélés par l’enquête. Ainsi sept communes du département vont être suivies : Armaillé, Saint-Lambert-la-Potherie, Juvardeil, Daumeray, Genneteil, Le Puy-Notre-Dame, Saint-Sauveur-de-Landemont. Certaines de ces communes travaillent en cantines autogérées, d’autres avec des sociétés : Restoria (voir ci-dessous) et Océane de restauration, qui représentent, à elles deux, deux tiers des restaurations déléguées.

S.H.

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout l'Anjou Agricole.

Les plus lus

Les partenaires du projet Vitivolt : Xavier Besson (LDDV), James Ronsin-Coumel (Altarea énergies renouvelables), Bertrand Pinel, chef de projet Vitivolt (Terrena Innovation), David Grellier (domaine Château la Varière), Jean-Philippe Priarollo (Terrena Energies).
Un démonstrateur agrivoltaïque unique en Val de Loire 

Pionnière dans le Val de Loire, une centrale agrivoltaïque expérimentale est installée depuis ce printemps au domaine Château…

Le lavage mécanique des serres Avec le blanchiment et le déblanchiment, Traita Service s'est spécialisé dans cette activité qui contribue à maintenir les équipements en bon état.
Traita rayonne dans
toute la France
Implantée à Noyant-Villages (Auverse), l'entreprise Traita et ses deux filiales, Traita Service et Traita Agro, intervient pour…
A Bellême dans l'Orne, les FDSEA et les JA ont organisé une manifestation symbolique vendredi, pendant pendant qu'Emmanuel Macron était à Belém, au Brésil.
Un jour c'est oui, le lendemain c'est non
En moins d'une semaine, le président de la République s'est tour à tour déclaré « plutôt positif » au traité UE…
Le nouveau bâtiment de 1 700 m2 mesure 18 m de large.
Un bâtiment neuf de 1 700 m2
Le groupement volailles de Terrena soutient la construction nouveaux bâtiments. Témoignage de Nicolas Ramond, qui dispose d'un…
Le sol sableux irrigué facilite le travail du sol sur la station qui emploie 20 permanents.
à brion, le geves évalue
les semences
L'unité expérimentale du Geves (Groupe d'étude et de contrôle des variétés et des semences), aux Bois d'Anjou (Brion) est…
Hausse de l'indice des fermages

En 2025, l'indice de fermage s'établit à 123,06, soit une augmentation de  +0,42 %.

Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 176€/an
Liste à puce
Consulter l'édition du journal l'Anjou agricole au format papier et numérique
Accédez à tous les articles du site l'Anjou agricole
Ne manquez aucune information grâce à la newsletter d'actualités
L’accès aux dossiers thématiques
Une revue Réussir spécialisée par mois