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prix du lait
Prix du lait à 324,7 € en février 2011

Le Cil Ouest s’est réuni pour fixer les valeurs entrant dans la composition du prix de cession pour février 2011.

(1) L’indice économique est fixé par trimestre aux termes de l’accord du 
3 juin 2009.
(2) La comparaison avec l’Allemagne est fixé par mois aux termes de l’accord du 18 août 2010. Pour février 2011, on compare novembre 2010 en France et en Allemagne.
(3) L’indice de saisonnalité est fixé annuellement depuis le 1er janvier 2010.
(1) L’indice économique est fixé par trimestre aux termes de l’accord du
3 juin 2009.
(2) La comparaison avec l’Allemagne est fixé par mois aux termes de l’accord du 18 août 2010. Pour février 2011, on compare novembre 2010 en France et en Allemagne.
(3) L’indice de saisonnalité est fixé annuellement depuis le 1er janvier 2010.
© AA

Le Cil (Centre interprofessionnel laitier) vient de confirmer la hausse du prix de référence du lait en ce début d’année, pour les régions Bretagne et Pays de la Loire. Le prix pour février 2011 s’établit à 324,7 € pour 1 000 litres.

+ 11 € grâce au correcteur de compétitivité
En nouveauté 2011, comme validée après la crise de l’été dernier : la prise en compte du correcteur de compétitivité France-Allemagne (de + 11 €/1 000 litres en février) comme composante de l'indice économique. Cette valeur étant calculée tous les mois, cela fait désormais qu’il ne peut plus y avoir de prix annoncé par trimestre comme précédemment.
La prise en compte du correcteur de compétitivité France-Allemagne donne un profil étonnant au prix sur ce début d’année. Nous étions habitués à une baisse entre les prix de janvier, février et mars et non à la hausse actuelle. Qu’en sera-t-il de mars ? Au-delà, les prix France-Allemagne devraient s’être rééquilibrés et donc cet indicateur devrait avoir un impact plus réduit.

Quelles perspectives ?
Au niveau mondial, la demande reste soutenue et l’offre modérée. Cette tendance de marché positive pourrait se maintenir si l’on en croit les dernières enchères de “Fonterra”, entreprise néozélandaise spécialiste en exportation. Les producteurs français savent profiter depuis quelques mois de cette bonne conjoncture prix en produisant sensiblement plus que la campagne précédente et ce, depuis l’été, sans combler et de loin, le déficit important au regard de la référence France. Toutefois, il faut tempérer tout optimisme et se rappeler que depuis 2007, on sait que le retournement des marchés peut surprendre à tout moment. Autre bémol de taille, l’envolée des coûts de production qui réduit d’autant les effets favorables de la bonne tenue des prix.

S.D.

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