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Simplicité, luminosité et ventilation : la recette du succès

Au Tremblay, l’installation de Maxime Gohier en 2013 et le vieillissement du bâtiment d’engraissement des taurillons ont conduit les 5 associés à investir dans un nouveau bâtiment. Opérationnel depuis décembre 2019, cette installation est le fruit d’une longue réflexion, primordiale selon les éleveurs.

Lumineux grâce à son dôme, le bâtiment du Gaec des Julinières est également très bien ventilé.
Lumineux grâce à son dôme, le bâtiment du Gaec des Julinières est également très bien ventilé.
© AA

Se lancer dans la construction d’un nouveau bâtiment, ce n’est jamais anodin. Avec les sommes déboursées, mieux vaut ne pas aller trop vite en besogne. Au Gaec des Julinières, exploitation de 300 ha située au Tremblay, on l’a bien compris lorsqu’il a fallu remplacer le bâtiment de jeunes bovins, datant de 1970 et vieillissant.


Simplicité et adaptabilité
La réflexion a débuté en 2014, à la suite de l’installation de Maxime Gohier, en 2013, sur cette exploitation de 5 associés. « L’ancien bâtiment était bas, sombre et mal ventilé. De plus, la largeur de couloir n’était pas adaptée au nouveau matériel sur le marché », développe le jeune homme. Ce bâtiment, le seul qui accueille des jeunes bovins à engraisser sur l’exploitation, comportait 120 places. L’installation de Maxime Gohier a poussé les associés à lancer un projet de bâtiment, qui est en service depuis décembre 2019. D’une superficie de 1080 m2, avec une hauteur variant de 4 à 7,20 mètres, l’accent a été mis sur la simplicité, l’adaptabilité et l’amélioration des points faibles de l’ancien bâtiment. « C’est une stabulation qui va me durer toute ma carrière, je la voulais aérée, lumineuse, simple. A la fois pour le bien-être animal, mais aussi pour le bien-être de l’éleveur », témoigne l’agriculteur. Le bien-être animal, justement, a fait partie de la réflexion de Maxime Gohier. Fini les murs séparant les jeunes bovins, place aux portails. « On est passé de 4 m2 par animal à 5 m2 avec ce nouveau bâtiment. Et comme ce bâtiment peut être facilement adapté, cela nous permettra de suivre les tendances futures ».

 

Article complet dans l'Anjou Agricole du 2 octobre.

 

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