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Une Pac améliorée plutôt que réformée

Les ministres de l'Agriculture réunis pour discuter de l'avenir de la Pac après 2020 ne semblent pas, a priori, vouloir d'une grande réforme.

© UE

Réunis les 4 et 5 septembre à Tallinn (Estonie), les ministres de l'Agriculture des Vingt huit sont « tous dans une position défensive. On ne peut pas révolutionner la Pac mais uniquement la faire évoluer », en particulier les outils de gestion des risques et le verdissement, a ainsi résumé le ministre portugais, Luis Capoulas Santos. La communication de la Commission de Bruxelles sur ce sujet sera bien présentée fin novembre comme prévu, a assuré devant quelques journalistes le commissaire européen Phil Hogan qui ne prévoit pas non plus de révolution, notamment aucun dispositif obligatoire pour la gestion des risques mais plutôt un éventail d'options à disposition des États membres. Par ailleurs, la réserve de crise serait rendue plus efficace.


Le Parti populaire européen prend position sur l’après... 2024

Compte tenu des interrogations que soulève le Brexit, le Parti populaire européen (centre-droit, 241 sièges au Parlement européen) propose de reporter à 2025 l’entrée en vigueur d’une Pac revisitée. Selon la position officielle adoptée le 4 septembre à Copenhague par son Assemblée politique, sur la base de travaux présidés par l’eurodéputé Michel Dantin et le ministre allemand de l’agriculture, Christian Schmidt, cette future Pac devra maintenir la structure de la politique actuelle, mais modifier sensiblement les modalités du verdissement, instaurer un fonds de crise non soumis au principe d’annualité budgétaire et permettre de renforcer le pouvoir de négociation des organisations de producteurs au sein de la chaîne alimentaire.

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