Aller au contenu principal

Vente de reproducteurs à Cholet : une offre de qualité, mais peu d’acheteurs

La vente de reproducteurs de race à viande de Cholet s’est déroulée vendredi 18 octobre. Ce temps fort, organisé par Seenovia et ses partenaires, n’a pas rencontré tout à fait le succès escompté. Des transactions peuvent toutefois se réaliser encore en ferme.

71 reproducteurs de 5 races étaient à la vente et Seenovia proposait appui technique et conseils à l’achat.
71 reproducteurs de 5 races étaient à la vente et Seenovia proposait appui technique et conseils à l’achat.
© AA

« Pas une grosse vente, mais une très belle présentation avec tous types d’animaux », résumait Marion Daguené, conseillère Seenovia, à l’issue de la vente organisée vendredi 18 octobre au Parc des prairies de Cholet. Sur 71 jeunes mâles mis à la vente, 15 ont été cédés. Le bilan est plutôt satisfaisant en race limousine, puisque 7 mâles, sur 22 présentés,  ont trouvé preneur sur place, et des contacts ont été pris. En parthenaise, 2 mâles sur les 3 présentés sont partis à la vente. Plus décevantes ont été les ventes en charolaises : 3 mâles vendus, sur 24 animaux proposés et quelques contacts noués pour d’éventuelles transactions en ferme. En race blonde d’Aquitaine, les ventes s’établissent à 2/10. En rouges des prés, un seul animal de vendu sur les 12 présents.
Les prix de vente se situent, pour la grande majorité, entre 2 500 et 2 600 euros.

Pour les éleveurs qui n’auraient pas pu se déplacer et qui voudraient investir dans un jeune reproducteur présenté à Cholet, Seenovia a mis en ligne la liste des animaux
encore disponible, avec leurs pedigrees complets (www.seenovia.fr, rubrique actualités).

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout l'Anjou Agricole.

Les plus lus

Les asperges blanches représentent 80% de la consommation mais 95% de la production française.
Fleuron d'Anjou recherche des producteurs d'asperges
La coopérative Fleuron d'Anjou veut développer la production d'asperges, visant un volume de 1 000 T à 5 ans. Elle recherche des…
Encore trop d'eau pour les semis

Les mauvaises conditions d'implantation des céréales d'automne ont induit un basculement des surfaces vers des variétés de…

Entre 12 et 15 cm de hauteur d'herbe chez Jonathan Bertrand. Sorties 10 jours fin mars, ses vaches sont à nouveau consignées à l'intérieur, faute de portance.
Mise à l'herbe : de timides débuts

Limités jusqu'ici par la portance des sols, certains éleveurs se sont décidés à mettre à l'herbe des animaux, avec parfois des…

Laurent Martin contrôle la production de ses panneaux sur son téléphone. L'optimiseur des onduleurs permet de superviser les modules (température, production, ampérage) et sécurise l'installation.
Une stabulation pour les vaches grâce au photovoltaïque
Éleveur de charolaises à Lys-Haut-Layon, Laurent Martin a financé la construction d'une stabulation pour son troupeau allaitant…
Les agriculteurs dénoncent les promesses du gouvernement non tenues, le manque de solutions à court terme pour leurs trésoreries en difficultés mais aussi de solutions à long terme pour éviter que ce scénario ne se répète à chaque début de programmation.
Promesses non tenues et manque de solutions concrètes 

Le 20 mars 2024, les représentants FRSEA et JA des commissions agriculture biologique et environnement ont rencontré la DRAAF…

Guillaume Aubert élève un troupeau de 65 vaches montbéliardes. Il est associé avec ses parents et son frère au sein du Gaec des Alezanes.
Autonome pour l'insémination de son troupeau laitier

Éleveur au Louroux-Béconnais, Guillaume Aubert a suivi une formation à l'insémination avec Innoval. Depuis, il a vu les…

Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 176€/an
Liste à puce
Consulter l'édition du journal l'Anjou agricole au format papier et numérique
Accédez à tous les articles du site l'Anjou agricole
Ne manquez aucune information grâce à la newsletter d'actualités
L’accès aux dossiers thématiques
Une revue Réussir spécialisée par mois