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Volailles
Volailles : la CFA demande à Michel-Edouard Leclerc de « payer les produits français à leur juste prix »

La Confédération française de l'Aviculture (CFA) réagit dans un communiqué aux propos de Michel-Edouard Leclerc dans le journal Le Monde qui se pose en défenseur des consommateurs et de leur pouvoir d'achat. Celui-ci fustige ses fournisseurs qui « s'abriteraient derrière la flambée des cours des matières premières pour venir lui demander outrageusement des hausses de prix ». « Comment peut-on se vanter du retour de la confiance des consommateurs chez les distributeurs si c'est pour étrangler maintenant les producteurs français, les entreprises et leurs salariés qui sont aussi des consommateurs ? » interroge le syndicat. « Alors, monsieur Leclerc au lieu de jeter l'anathème, n'est-il pas temps d'établir un véritable dialogue et de trouver des solutions aux évolutions erratiques et spectaculaires des marchés agricoles ? » interpelle le syndicat. « Les producteurs de volailles ne parviennent pas à dégager un revenu suffisant pour leur permettre de moderniser et renouveler leurs installations d'élevage » rappelle la CFA. « Les producteurs ne demandent pourtant que la stricte répercussion des hausses de leurs coûts de production et non une augmentation de leurs marges ! Refuser de le comprendre c'est accepter de plonger nos filières dans de graves difficultés et remettre en cause la pérennité des productions avicole et cunicole françaises » conclut la Confédération.

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