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Crise laitière : accord de la filière pour stabiliser la production

Réunis le 22 mars à Paris par le ministre de l’Agriculture, la filière laitière a donné son accord à une stabilisation de la production, à condition bien entendu que cet objectif soit partagé au niveau européen.

Reste à convaincre l’Allemagne avec lequel Stéphane Le Foll entretient des contacts bilatéraux.
Reste à convaincre l’Allemagne avec lequel Stéphane Le Foll entretient des contacts bilatéraux.
© Actuagri

« On veut être de bons élèves, mais pas seuls », a déclaré Thierry Roquefeuil, le président de la Fédération nationale des producteurs de lait (FNPL) à l’issue de la réunion entre les organisations agricoles, la filière laitière et le ministre de l’Agriculture, le 22 mars à Paris. Au menu des discussions, la maîtrise des volumes en période de crise et pour être plus précis la stabilisation de la production en 2016 par rapport à 2015. Si les professionnels français dans l’ensemble, sont d’accord pour aller dans cette voie, ils ne veulent pas être les seuls à le faire au niveau européen. « On ne peut pas rentrer dans une mécanique de maîtrise des volumes en France si nos partenaires ne font rien », insiste le président. « Il faut que le volontariat soit partagé par tout le monde », précise-t-il. En effet, l’accord décroché à Bruxelles par le ministre de l’Agriculture, le 14 mars, sur la maîtrise de la production n’est que facultatif et non obligatoire. Pour le moment, les pays du sud partagent la position française, les pays du nord y sont réticents voire hostiles.

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