Aller au contenu principal
Damien Robert, associé du Gaec LG bio au Tremblay. L'exploitation développe un système basé sur l'herbe, en pâturage, en foin et en affouragement en vert.
Leurs démarches vers l'autonomie
Le Gaec LG Bio, au Tremblay, cherche à concilier autonomie alimentaire de l'élevage et efficacité laitière. La grande majorité de…
Des conditions météo qui malmènent les récoltes
Les récoltes de cultures de printemps sont fortement perturbées par la pluviométrie. Reportage à La Séguinière où les…
Soutien aux trois Angevins convoqués au Tribunal
Deux entrepreneurs des territoires et un agriculteur sont convoqués au tribunal suite aux actions agricoles du début d'année. La…
Les briques en terre cuite de l'entreprise Rairies Montrieux sont aujourd'hui vendues à 90 % pour habiller des façades. L'entreprise possède un vaste show-room aux Rairies, ainsi qu'un autre au Viaduc des Arts à Paris.
L'argile des Rairies habille les façades
Ce week-end, l'entreprise plus que centenaire Rairies Montrieux, aux Rairies, ouvre ses portes dans le cadre des journées…
Roosevelt, grand prix d'honneur mâle au concours charolais.
Des champions au Mans
Les éleveurs du Maine-et-Loire se sont distingués lors des concours de bovins organisés dans le cadre de la foire du Mans le week…
Panneaux englués piégeurs de thrips, diffuseurs d'auxilaires : les établissements Froger Fleurs pratiquent la lutte intégrée. Ces méthodes sont plus coûteuses que la lutte phytosanitaire, souligne leur dirigeant Guillaume Froger.
La fleur coupée face à ses défis
Au Salon du Végétal, une journée sera consacrée à la fleur coupée*. Reportage chez Froger Fleurs, producteur depuis trois…
Lors de l'édition 2022, qui avait marqué le retour du Salon du végétal à Angers. 
Coup de projecteur sur le végétal, la semaine prochaine à Angers
Programme très riche pour le Salon du Végétal, qui se déroulera les 10, 11 et 12 septembre au Parc des Expositions d'Angers.
De bonnes conditions météo pour son semis de colza
Le Gaec Richard a effectué ses semis de colza en fin de semaine dernière. Des conditions météo favorables et une soigneuse…
La castration du maïs semences a pris près de trois semaines de retard cette année, une situation qui pourrait causer des difficultés à l'embauche des jeunes saisonniers.
La FDSEA interpelle la Ddets sur le travail des moins de 16 ans
Alors que la castration du maïs semences démarre avec trois semaines de retard, le code du travail pourrait contrarier l'embauche…