Aller au contenu principal
Une fois entrée dans la carotte, la larve ne peut pas se développer.
La carotte qui piège son ennemi
La société Vilmorin-Mikado vient de proposer une innovation variétale, récompensée d'un Sival d'or. Nommée Terapur, cette carotte…
Plus de 250 livraisons sont effectuées chaque jour, du lundi au samedi. 200 producteurs approvisionnent la plateforme.
"Vite mon marché" : les produits du marché à portée de clic
Fondé en 2018 à Nantes, le site "Vite mon marché", une plateforme de vente de produits frais livrés dans la journée aux…
Le Gouvernement revient à la concertation sur le plan pollinisateurs
Dans le cadre du plan pollinisateurs, le lancement de la consultation publique sur l’arrêté «abeille» révisé, initialement prévue…
Le but est de créer un maillage suffisamment dense pour faire revenir les chauve-souris dans le vignoble.
La chauve-souris, l’alliée des vignerons
Les vignerons des AOC Quarts de Chaume Grand Cru et Coteaux du Layon 1er Cru Chaume sont engagés, avec la Chambre d’agriculture…
Samuel Lechat présente son semoir auto-construit, pour un coût très modique.
L’ACS préserve la ressource en eau
L’agriculture de conservation des sols, ou ACS, prend de plus en plus d’ampleur dans nos campagnes. Lors d’un bout de champ…
De gauche à droite : Antoine Duchemin et Alexis Trubert (projet Agribuilders), Fanny Deléage (La Tannerie végétale), Antoine Bourdon (Agribuilders), Omaé Pozza et Frédéric Chauffour (projet Boss) et Cassandra Bourmault (la Paille à boire).
Concours Vegepolys Valley : le végétal inspire les jeunes entrepreneurs
Le concours de startups organisé par le pôle de compétitivité Végépolys Valley a récompensé 4 projets, vendredi 4 décembre, en…
Les produits de la Douceur Angevine se retrouvent en restauration collective depuis 2009.
L’appel d’offres déshumanise les relations commerciales
à Longué-Jumelles, les 4 associés de la Douceur Angevine travaillent avec la restauration collective depuis 2009. Depuis quelques…
Avant que l'impressionnante pince sécateur n'entre en action, Paul-Bernard Rabin, agriculteur, échange avec Firmin Marsollier, de l'entreprise Moreau. « On observe les arbres pour repérer lesquels pourraient devenir adultes, voire centenaires et constituer du bois d'oeuvre à haute valeur ajoutée, comme les merisiers, chênes, charmes...», explique l'agriculteur.
Les haies bocagères, ça s'entretient
Reportage à Bouchemaine, où était réalisé, fin novembre, un chantier d'abattage des haies de l'exploitation de Paul-Bernard Rabin…
Comme l’ombre d’un doute pour le solaire
Retoquée par le Sénat, la révision des contrats pionniers du solaire jette le trouble sur les engagements de l’état. Les acteurs…