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Le but est de créer un maillage suffisamment dense pour faire revenir les chauve-souris dans le vignoble.
La chauve-souris, l’alliée des vignerons
Les vignerons des AOC Quarts de Chaume Grand Cru et Coteaux du Layon 1er Cru Chaume sont engagés, avec la Chambre d’agriculture…
Lionel Gausseaume est le nouveau président d'InterLoire.
Changement de président à InterLoire
Lors de l’assemblée générale élective d’InterLoire, Lionel Gausseaume a été élu président de l’interprofession. Il succède à Jean…
Les vignerons réinventent les moyens de commercialisation
Quantité et qualité sont au rendez-vous du millésime 2020 en Anjou Saumur. Le Domaine de Bablut ne déroge pas à la règle. Avec…
Pallier le manque de fourrage avec des protéines
A Valanjou, Michaël Benoist a décidé d’implanter un méteil protéagineux. échaudé par les dernières années difficiles pour le maïs…
Autonomie alimentaire et valorisation des produits, facteurs clés de réussite
Seenovia a présenté à ses partenaires, mardi 6 octobre, à Trélazé, ses résultats technico-économiques en élevages bovin allaitant…
Le verre à moitié plein
Le cru 2020, marqué par la précocité, présente de bons résultats, tant qualitatifs que quantitatifs. Une bonne nouvelle dans une…
Depuis début septembre, Raphaël Brunet apprend à Manon Cateau les rouages de la conduite de son élevage caprin bio.
Apprentie, elle se forme à la conduite d’un élevage caprin
Depuis début septembre, Manon Cateau est apprentie en CS caprin sur l’exploitation de Raphaël Brunet. Employée par le Geiq…
Les premières chevrettes du troupeau sont issus de Chevrettes de France. Un investissement élevé au départ mais que les éleveurs ne regrettent pas. Maintenant que le troupeau a atteint son objectif de taille, le Gaec vend 300 chevrettes de 30 jours à la société spécialisée en génétique caprine. Le prix : 85 € par chevrette.
Plus de confort et de revenu
Au Gaec du Bois Méry, les chèvres ont définitivement remplacé les vaches depuis mars 2019. La conversion a demandé du temps, de l…
Alexandre Cady parmi ses vignes, dont une grande partie sont en coteaux. Ici, les vendanges se réalisent entièrement à la main.
Un domaine bio niché dans les coteaux
Viticulteur à Saint-Aubin de Luigné, Alexandre Cady a fait prendre au domaine familial une dimension œnotouristique.
S’il est trop tôt pour se prononcer sur la qualité, la quantité sera au rendez-vous pour les vendanges.
Des vendanges précoces pour une filière inquiète
Cette année 2020 est décidément particulière pour la filière viticole. Après les taxes Trump et le Covid, la culture tire à…