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Semis de blé : tous au couvert !
À Meigné-le-Vicomte, Vincent Brulé sème 50 ha de blé sous couvert permanent. Un premier essai pour cet agriculteur de…
Paul Gautreau, nuciculteur.
Produire des fruits à coque bio, un vrai casse-tête
A Juvardeil, Paul Gautreau cultive des noix et des noisettes en agriculture biologique. Et ce n’est pas une mince affaire.
Pallier le manque de fourrage avec des protéines
A Valanjou, Michaël Benoist a décidé d’implanter un méteil protéagineux. échaudé par les dernières années difficiles pour le maïs…
Semis de triticale en semis simplifié à Saint-Clément de la Place, sur un précédent maïs grain.
Semis : ne pas reproduire le scénario de 2019
À l’Ouest d’Angers, les semoirs de la Cuma Botanica sont entrés en action le 8 octobre. La priorité : ne pas perdre de temps pour…
La petite collection dans la prairie
Mardi 13 octobre, la Chambre d’agriculture des Pays de la Loire a organisé une visite de collection de prairies, à Angrie.
Bruno Parmentier (à gauche) et Frédéric Thomas, ont animé le débat qui a suivi la projection du documentaire sur l’agriculture de conservation et de régénération des sols.
Sol : « on est à l’an zéro de la connaissance »
La soirée ciné-débat “Bienvenue les vers de terre” a réuni une centaine de personnes à La Pouëze le 30 septembre dernier, pour un…
Le verre à moitié plein
Le cru 2020, marqué par la précocité, présente de bons résultats, tant qualitatifs que quantitatifs. Une bonne nouvelle dans une…
Le séchoir mobile, un Mecmar STR, a été vendu et installé par les Ets Hervé en Vendée. Le maïs passe par un brûleur à 115°C, puis est maintenu à 55°C dans la cuve.
De l’autonomie avec un séchoir à grain mobile
à Louresse-Rochemenier, Grégory Chauvin a repris l’exploitation de son père, dont le séchoir mobile, qu’il a utilisé pour la…
Du sorgho en affouragement en vert
Au Gaec de la Gaignardière, à Saint-Saturnin-sur-Loire, on a semé du sorgho multi-coupe pour les vaches. Une franche réussite.
La précision se joue dans les dents pour la herse étrille Cura ST. « Chaque dent est indépendante. De la cabine, l’agriculteur peut régler l’agressivité des dents. La pression exercée sur ces dernières s’ajuste hydrauliquement de 500 grammes à 5 kg par dent. On a toujours la même pression à la dent, qu’elle soit dans une bute ou dans un creux. » L’outil peut aller jusqu’à 12 mètres de long.
Des machines au service de la transition agroécologique
Semoirs, déchaumeurs, outils de désherbage mécanique, pulvérisateurs… Les nouveautés de Horsch, commercialisées par le…